Le collier de la "chienne" ! (2) - Histoires de Sexe

Le collier de la "chienne" ! (2)

... à poil tout de suite ? dit-elle amèrement, en fixant son mari.

— Ce peut être un bon début effectivement !

— Là... tu es content, dit-elle, en se postant nue, sa petite touffe à l’air, son tee-shirt, jean et sous-vêtement déposés sur le sol, à ses pieds.

— Pas mal, dit-il, blasé, en relevant la tête de son magazine, qu’il lisait, alors que sa femme se déshabillait.

— Je ne te plais plus ? s’inquiéta-t-elle alors, devant son manque d’entrain... elle s’était imaginé qu’il allait se lever de son fauteuil et venir la prendre là, sur le tapis du salon.

— Si, si... mais...

— Mais quoi ?! Tu veux quoi au juste, s’écria Cécile, alarmée par la nonchalance de son mari, et sentant son pouvoir érotique sur lui, lui échapper à vitesse grand V !

— Ca, ça aurait encore pu marcher dix ans auparavant, quand j’étais encore dingue de toi sexuellement parlant...à présent vu toute l’amertume que j’ai retirée de notre mariage, et toutes les rebuffades que j’ai essuyées en te demandant simplement de faire l’amour, je veux des choses beaucoup plus compliquées, élaborées... et... s’ingénia-t-il à murmurer, pour créer le suspense.

— Et ? Et quoi ? Mais parle, bordel ! Je ne sais plus quoi faire, moi ? gémit Cécile, qui perdait pied face à lui.

— Bordel... bordel... quel joli mot, et de circonstance ! Fais un peu marcher ton imagination pour savoir ce que je veux de toi. C’est marrant, lors de notre divorce avorté, tu avais beaucoup plus d’imagination et d’audace... tu me ...

... déçois... une fois de plus ! L’âge ? Peut-être ?” réagit-il, péremptoire et vicieux.

Cecile, toujours nue, sortit de la pièce, et s’activa dans leur chambre. Il se dit alors que, soit elle avait déjà atteint ses limites, et alors ce n’était vraiment plus la peine d’encombrer sa vie avec une gourgandine enamourée, mais quasi frigide... ou soit elle avait enfin compris ! Il penchait pour la seconde solution... ce que l’entrée de la jeune femme lui confirma. Elle entra dans la pièce, ayant revêtu des escarpins en cuir vernis, qu’elle n’avait jamais portés auparavant, l’un des innombrables cadeaux de prix, tombés rapidement en désuétude. Une paire de bas couture gris, et un porte-jarretelles noir Aubade, qui lui avait coûté (à lui), une blinde, aux galeries Lafayette de Paris !

" Alors et comme ça, minauda-t-elle en se caressant langoureusement la hanche.

— C’est mieux ! Mais bon et à présent que vas-tu faire ?

— Tu veux que je te suce ? lui dit-elle langoureusement en se passant la pointe de la langue sur les lèvres.

— Par exemple ... "

Et la jeune femme se positionna à genoux devant lui, toujours assis dans son fauteuil, lui dégrafa le pantalon, attrapa la verge et commença à le sucer du mieux qu’elle pouvait.

— Humm... pas mal, pas mal... mais tu ne t’arrêtes pas, tu vas jusqu’au bout ! Jusqu’à la dernière goutte de sperme !

La jeune femme qui avait un instant cessé de le pomper, parce qu’elle n’aimait pas avoir la semence de son mari dans la bouche, ...