1. Nymphomane moi ? Tome I (4)


    Datte: 21/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... insinua son majeur dans mon sexe qui palpitait.
    
    Son autre main avait saisi mon sein droit et en malaxait le téton à travers le tissu de la robe, je me mis à gémir doucement. Le bout de mon sein avait durci et s’était allongé de plus de deux centimètres, Maxime, en baisant l’échancrure de robe, me dit qu’il aimait beaucoup l’érectilité de mes tétons. Je regrettai que cela, vu l’endroit où nous nous trouvions, ne puisse aller bien plus loin. Des pas firent d’ailleurs crisser le gravier dans l’allée, quelqu’un arrivait. Maxime retira ses mains, je réajustai ma robe. Nous avalâmes nos boissons. Il n’était pas loin de quatorze heures trente. Je le regardai malicieusement.
    
    — Bon, je vais aller le rejoindre. Tu sais, en général, Gérald ferme le local à clef pour que l’on ne soit pas dérangé pendant l’inventaire.
    
    — Petite salope, tu y vas sans culotte ?
    
    — Oui, j’adore... et tu vas en être excité tout l’après-midi...! En fantasmant sur lui et moi... Et ce que nous pourrions faire... et que peut-être nous ferons ! Crois-tu que je vais réaliser mon fantasme ? imagine son énorme queue noire en train de me pénétrer...
    
    Maxime me regarda partir avec envie, il dut penser à ce qui pourrait arriver, j’étais sûre que cela le faisait bander.
    
    En traversant la cour, je sentis le vent s’engouffrer sous ma robe qui voletait doucement, les deux derniers boutons étant dégrafés. La pointe de mes seins, encore durcis par la caresse de Maxime, frottait agréablement contre le tissu de ...
    ... ma robe et entretenait de ce fait leur érection. J’arrivai devant la porte entrebâillée, de la lumière filtrait, Gérald était déjà là. J’entrai, mon cœur battait plus fort en pensant à ce qui s’était passé le matin, et à ce qu’il m’avait dit qu’il avait vu à travers la porte dépolie de son bureau... et à ce qu’il avait fait en nous regardant. Je fus parcourue d’un long frisson.
    
    Il m’attendait, visiblement un peu gêné de l’intermède de midi. Il n’osait pas trop me regarder, je lui souris. La pièce comportait un comptoir, derrière celui-ci, des rayonnages pleins d’ustensiles divers, une sorte de bureau avec deux chaises, et des cartons entassés çà et là. Une lumière crue tombait des néons du plafond, la pièce en sous-sol ne comportait que de très petits vasistas munis de grillage s’ouvrant au ras du sol dans la cour. Un listing était posé sur le bureau au-devant duquel Gérard se tenait debout. Il était très grand, pas d’une couleur noire aussi absolue que celle du noir qui m’avait baisée l’autre soir, mais la couleur me convenait, il devait y faire bon de frotter sa peau blanche. Ses grandes mains de basketteur feuilletaient un bloc note. Je fixai les doigts qui tout à l’heure m’avaient presque amenée au bord de l’extase. Je me remémorai la grosseur et la dureté du sexe que j’avais touché, et je m’interrogeai sur la longueur.
    
    Comme prévu, Gérald alla fermer la porte à clef. Nous étions maintenant seuls et tranquilles, personne ne pouvait nous voir. Je m’assis sur l’une des ...
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