Nymphomane moi ? Tome I (4)
Datte: 21/12/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... chaises et me tournai vers Gérald qui revenait. J’écartai doucement sur ma cuisse le panneau de ma robe glissa, laissa apparaître la dentelle du haut de mes bas, le fermoir et la mince bande de tissu noir qui la reliait à mon porte-jarretelles. Je pris soin de ne pas lui laisser apercevoir mon sexe. Je voulais qu’il me désire, exacerber ses sens jusqu’à ce qu’il n’en puisse plus de bander. J’aimais d’ailleurs que le regard des hommes et celui des noirs de surcroît, se pose sur moi et me désire. Souvent, sans en avoir l’air de rien, lorsque je sentais s’appesantir sur mon corps le regard appuyé d’un homme, je savais jouer de mon charme, pour mine de rien me faire désirer un peu plus, tout en ayant l’air très sage.
Je vis le regard de Gérald s’éclairer, en se portant sur ce morceau de cuisse découvert, un sourire lumineux éclaira son visage. Il vint s’asseoir au bureau et m’expliqua comment il comptait procéder pour commencer l’inventaire, il me montrait le listing et commençait à avancer la main vers la cuisse dénudée, il la posa au-dessus de mon genou.
Je me levai, me penchai sur le bureau, ma robe déboutonnée bailla, Gérald plongea son regard dans la profondeur du décolleté. Je lui laissai deux bonnes minutes pour qu’il admire mes deux globes laiteux, dont les aréoles commençaient à prendre la chair de poule et se couvrir de petits points. Les tétons eux aussi commencèrent à grossir, s’allongèrent et durcirent quelque peu.
Puis malicieusement, je tournai les talons ...
... et me dirigeai vers l’endroit où Gérard voulait débuter le travail. Les fournitures se trouvaient sur le premier plateau de l’étagère presque au ras du sol. Je m’accroupis, face à Gérald qui me suivait environ trois ou quatre mètres en arrière. Ma robe s’évasa derrière mes talons aiguilles. J’écartai lentement les genoux, lui dévoilant mon pubis épilé. L’ouverture de mes grandes lèvres n’était pas assez importante, et ne permit pas à Gérard d’apercevoir la fente de ma chatte qui maintenant mouillait de plus en plus. Tout en comptant, j’écartai lentement un peu plus les jambes, pour qu’il ait un aperçu de la fente humide. Il arrêta sa progression et se tint à trois mètres pour pouvoir bénéficier du spectacle, une grosseur commençait à se profiler le long de sa jambe. J’y portai les yeux et satisfaite de mon effet, me levai.
J’avisai deux cartons posés l’un sur l’autre, et m’y dirigeai, en chemin, je déboutonnai le troisième bouton du bas de ma robe. Celle-ci n’était plus retenue que par trois boutons et s’ouvrait jusqu’à ma chatte. Maintenant à chacun de mes pas, la fente de ma robe s’entrebâillait assez largement sur les bandes de peaux blanches et nues striées par les lanières noires du porte-jarretelles. On put même apercevoir le bas de ma chatte. Arrivée près des cartons, je regardai Gérard, celui-ci n’avait pas encore remarqué ce que la robe laissait entrevoir. Je notai qu’il avait l’air chaviré par ce que je lui avais laissé entrapercevoir, lorsque j’étais accroupie. ...