1. Nymphomane moi ? Tome I (4)


    Datte: 21/12/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... le lieu pour se laisser aller au plaisir, et surtout que l’heure avait dû avancer. Je jetai un rapide coup d’œil à ma montre, il était midi vingt-cinq. Je repris mes esprits, retirai gentiment avec un sourire un peu contrit, la main noire qui était presque arrivée à me faire jouir. Gérald regarda ses doigts luisant de foutre, les porta à sa bouche et les suça voluptueusement en me regardant. Je me levai, rabaissai ma jupe et indiquai à Gérald que malheureusement, il était l’heure et qu’il fallait que je me sauve. Sur mes fesses nues, je sentis que ma jupe devait avoir une grosse tâche de foutre. Tant pis, je mis mon sac en bandoulière et essayai de le positionner à cet endroit, à cette heure, je ne risquai pas d’ailleurs de croiser grand monde pour me rendre sur le parking.
    
    Gérald me fit une bise, et me rappela qu’on avait rendez-vous au sous-sol où se trouvait le magasin, cet après-midi pour commencer l’inventaire, et ce, à quatorze heures trente précises ...
    
    Après la pause déjeuner, comme tous les jours vers quatorze heures, je retrouvais Maxime pour boire un café. J’avais changé ma jupe tachée et enfilé une robe légère imprimée, se boutonnant sur le devant. Celle que je portais lorsque le vieux fermier des légumes m’avait baisée. Cette robe s’évasait en une légère corolle, et s’arrêtait dix centimètres au-dessus de mon genou. Les deux derniers boutons étaient défaits, ainsi que le dernier du haut qui était déboutonné. Nous étions seuls. Avant de partir, j’ avais ...
    ... retiré mon string, sachant très bien pourquoi. Je m’étais munie d’un bloc note en vue de l’inventaire. Maxime me demanda ce qui s’était passé avec Gérald. En riant, je lui certifiai qu’il ne s’était absolument rien passé, qu’il m’ avait juste maté les jambes, et pourtant j’avais fait un effort pour l’exciter, il avait même dû apercevoir ma chatte ! Je le lui raconterai avec force et détails un autre jour. Il était appuyé au lavabo face au banc.
    
    Je me servis un thé, m’assis en face de lui.
    
    — Non, non, ne t’assieds pas ainsi, ce n’est pas comme ça que je te demande de faire... Et puis je ne suis pas persuadé que tu me dises l’entière vérité...
    
    J’obéis, me relevai, fis bouffer ma robe et me rassis directement sur mes fesses nues. Le froid du plastique du banc me fit frissonner. En portant mon gobelet aux lèvres, je fixai amoureusement Maxime. Il me dit d’écarter les jambes, je m’exécutai. Je les séparai et les refermai plusieurs fois, faisant à chaque fois s’ouvrir un peu plus ma chatte. Remontant ma robe, j’écartai les lèvres de ma vulve avec deux doigts pour lui permettre d’apercevoir l’ouverture de mon vagin. Maxime fixait mon sexe avec envie. Je me sentis mouiller. Il vint s’asseoir à côté de moi, souleva un côté de ma robe et sa main partit en exploration sur ma cuisse gauche. Elle s’attaqua d’abord à la reconnaissance de l’attache du porte-jarretelles sur la partie en dentelle de mes bas noirs, puis elle suivit la lanière, passa lentement à l’intérieur de ma cuisse et ...
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