-
Cette punition qui a changé ma vie (8)
Datte: 18/12/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Porphyrion, Source: Xstory
... princesse. Il est complètement nu en dehors du collier où est attachée la laisse et bien entendu complètement épilé. Sa bouche grande ouverte trahit sa surprise, il découvre vraisemblablement ce qui l’attend. Son sexe glabre tendu jusqu’au nombril indique très clairement que les deux dominatrices ne se sont pas trompées en l’amenant ici, il attend de prendre ma place. J’ai longtemps cru qu’il s’agissait du petit ami de la plus jeune, voire de son mari vu l’intimité qu’il y avait entre eux. Je me suis trompé, c’était son frère cadet. Il allait devenir la chose de sa sœur et de sa mère. Je les ai revus quelques mois plus tard. Sans les deux femmes qui l’escortaient, je ne l’aurais pas reconnu. Il avançait d’une démarche chaloupée, juché sur des cuissardes rouges qui montaient jusqu’à une minijupe en cuir noir surmontée d’un petit caraco en dentelle. Ses cheveux de jais devenus plus longs encadraient un visage dont le maquillage soulignait la douceur toute féminine. J’ai à peine remarqué le sourire qu’il m’a lancé en me croisant, tant j’étais fasciné par les jolis petits seins qui pointaient désormais de son décolleté. Sa sœur le guidait par une laisse tenue ...
... légèrement d’un seul doigt, visiblement, il la suivait, tout à son bonheur de dominé. Sa mère derrière lui avait plus de difficultés à garder en main une autre laisse sur laquelle tirait un Beauceron mâle. Le chien museau en l’air regardait avec avidité le frêle soumis qui se déhanchait devant lui. De la bave glissait de sa gueule entrouverte et on ne pouvait pas manquer de voir le pieu qui sortait du fourreau du mâle excité. J’imaginais sans peine ce qui allait se passer dans un des salons privés du donjon. Je me retournais pour les regarder partir, mais la maîtresse qui m’avait choisi ce matin-là fit claquer sa cravache sur ses bottes pour signaler son impatience. Je les abandonnais avec regret à leur univers pervers. Un long moment, m’éloignant dans le couloir, je fus accompagné par l’odeur du parfum fleuri de la petite sissy qui se mélangeait à celle plus entêtante du chien en rut. Le regard fixé sur la photo, perdu dans mes souvenirs, le sexe dressé porté par l’évocation de ces souvenirs, j’en oublie complètement de suivre les déplacements de ma belle-mère dans le couloir menant à ma chambre. Le léger couinement de la poignée de la porte me ramène brutalement à la réalité.