Cette punition qui a changé ma vie (8)
Datte: 18/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Porphyrion, Source: Xstory
La photo
Cela fait maintenant quelques mois que je suis devenu le soumis vedette dans l’institut de Princesse Fatou. Nul besoin désormais d’exercer un quelconque chantage pour m’obliger à m’y rendre. J’attends les samedis avec impatience pour m’y précipiter et subir les sévices que les femmes fréquentant l’établissement de Princesse voudront bien me faire endurer.
J’y ai gagné un surnom : « l’Institutrice » (en français s’il vous plaît !)
Pourquoi le choix d’un tel pseudonyme ? Tout simplement parce que ces Dames adorent amener leur soumis, ou leur futur soumis, et montrer sur moi ce que sera leur futur, et surtout comment ils devront se tenir en présence de leur Maîtresse, comment obéir instinctivement, se féminiser, s’humilier et par-dessus tout ressentir du plaisir à cette situation. Pour tout cela, je suis un très bon professeur, je suis « l’Institutrice ».
Malheureusement aujourd’hui, je n’ai pas pu me rendre dans ce palais des supplices, fauché par une impressionnante crise de paludisme. Je maudis ce foutu moustique qui m’a piqué, me privant ainsi de ces femmes dont je suis devenu le jouet docile sur lequel elles expriment leurs vices.
Au lieu de cela, je reste cloitré dans ma chambre, terrassé par de fortes poussées de fièvre, entrecoupées par de trop rares moments de lucidité.
Alice et Isha sont parties pour leur traditionnelle tournée shopping du samedi. Elles la terminent systématiquement par un séjour au club d’Isha où elles profitent d’un ...
... moment détente au bord de la piscine.
J’ai été un peu surpris de voir Alice si guindée d’habitude se lier d’amitié avec Isha, notre maid. Je dois dire qu’elle rentre, certes épuisée, mais cependant parfaitement détendue, voire heureuse de leur virée hebdomadaire.
C’est ma belle-mère, Martine, qui s’occupera de moi pendant leur absence, en cas de besoin. Elle est venue en Inde pour ses affaires et en a profité pour faire un saut jusqu’à Mumbai. La voilà promue garde malade, au regard qu’elle m’a jeté, je ne suis pas certain que cela l’enchante.
Avant de partir, Isha s’est faufilée dans ma chambre, elle tenait un objet que je n’ai pas pu voir. Sa main s’est glissée sous les draps, a écarté mon boxer et j’ai senti quelque chose de dur se présenter contre mon œillet. D’une poussée ferme, elle m’a enfoncé un plug de belle taille en ayant aux lèvres son sourire carnassier qui me terrorise et annihile en moi toute volonté de réagir. Elle la fait tourner à plusieurs reprises afin de bien l’installer et être certaine qu’il ne sortira pas. Je n’ai pas bronché, je ne bronche plus quand Mademoiselle s’occupe de moi, je suis trop heureux d’être, même pour un instant, au centre de son univers.
— Voilà, ainsi tu penseras à moi toute la journée.
— Et puis, tu ne voudrais pas que ton petit trou se resserre, que diraient tes Maîtresses si leurs beaux godes ne rentraient plus entre tes petites fesses serrées ?
Je ne réponds rien, secoué par une nouvelle montée de fièvre. Je vois à ...