1. Cette punition qui a changé ma vie (8)


    Datte: 18/12/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Porphyrion, Source: Xstory

    ... peine Isha se pencher sur moi.
    
    — Un petit cadeau de Princesse Fatou pour t’accompagner pendant tes crises.
    
    Et elle glisse une photo sous mon oreiller.
    
    Je ne l’entends pas partir, le paludisme m’a emporté. J’ai l’impression de délirer pendant des heures, puis quand ma température retombe, je m’effondre dans un sommeil haché, peuplé de rêves où des êtres hommes, femmes, je ne sais plus, me font l’amour sans trêve, me pénètrent violemment avec des sexes aux dimensions inhumaines m’entraînant dans un plaisir sans fin.
    
    Je me réveille enfin, trempé de sueur, je comprends alors que le gode profondément ancré dans mes reins est la cause de ces songes peuplés de créatures étranges.
    
    En dormant, agité, j’ai repoussé les draps qui me couvraient, je vois alors mon sexe dressé, encore palpitant de ce que j’ai cru voir dans mon sommeil.
    
    Je le regarde avec avidité, mon souffle s’accélère. Pensant à ces membres gigantesques, j’ai envie de me caresser.
    
    Ma main se dirige lentement vers mon gland qui perle déjà, glisse le long du membre dur qui tressaute avide de cette caresse, puis arrivée à la base de la verge, tire doucement sur la peau pour relancer encore mon plaisir, juste en utilisant le pouce.
    
    Mon excitation est telle que cette simple pression m’arrache un gémissement. La tension est trop forte, ma main saisit fortement mon sexe. Je prends une grande respiration, attends un court instant pour tendre encore davantage mon désir, puis n’y tenant plus, je commence un ...
    ... premier aller-retour.
    
    Je ferme les yeux et retourne dans mon rêve avec ces créatures sublimes, mes mains glissent sans hâte sur mon pieu dressé, mon corps se tend, mes reins se cambrent.
    
    Un bruit me fait sursauter, des pas dans le couloir. J’entends distinctement le claquement des talons de ma belle-mère.
    
    Le bruit s’arrête devant la porte de la chambre. Je me fige, tétanisé. Mes yeux fixent la poignée de la porte, je n’ai même pas le réflexe d’éloigner la main de mon gland humide et de ramasser le drap sur mon érection flamboyante. Quelle honte ce serait d’être surpris en pleine masturbation par une personne qui a l’âge d’être ma mère !
    
    L’image de cette femme autoritaire pénétrant dans la pièce et me découvrant ainsi, nu, le sexe tendu, ma main en pleine action et l’abominable humiliation qui en découlerait déclenchent un violent orgasme. Je serre les dents pour ne pas crier mon plaisir tandis qu’une explosion de sperme macule mon pyjama giclant jusque sur l’oreiller.
    
    Terrorisé, je tends l’oreille, mes yeux ne quittent pas la poignée de la porte. Enfin, le bruit des pas reprend et s’éloigne, Martine a dû penser que je dormais.
    
    J’enlève rapidement mon pyjama, retourne précipitamment mon oreiller souillé. Nu dans mon lit, je décide d’oublier cet érotisme onirique et sors la photo que je viens de retrouver, cachée sous l’oreiller.
    
    Au dos de la photo, une dédicace, ou plutôt un ordre de Princesse Fatou
    
    — Reviens vite.
    
    Je crois entendre sa voix rauque. ...