La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1534)
Datte: 17/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... !
Ma queue ne mollissait pas, je restais très concentré, parfaitement immobile, toujours le bout de ma pine engagée entre les fesses de mon congénère, avec toujours cette une folle envie de le pénétrer entièrement, bandant à l’extrême…
- Oui en effet, Alice, je me souvenais de cet anniversaire, je n’ai pas oublié !
- Ce sont ces deux, que vous avez choisis pour lui ?
- J’ai pensé ma chère Alice qu’au moins l’un des deux pourrait vous convenir….
J’écoutais sans entendre ou tout au moins sans comprendre… Le Maître et cette femme parlaient bien de Romain et de moi… mais quel était le lien avec cet anniversaire ?
- Il ne me semble pas les avoir déjà vus au Château, ces deux-là ?
- En effet, ce sont deux nouvelles recrues… Ils viennent tous deux de me rejoindre !
- Humm des esclaves à la chair fraîche, Jean va adorer.
Alice s’était relevée brusquement, était arrivée à grandes enjambées vers nous. Elle attrapait ma chevelure, me tirant brusquement en arrière pour dégager mon sexe encore semi coincé dans cet orifice brulant et humide.
- Lève-toi salope, mains dans le dos, tête basse !, m’ordonnait-elle sèchement.
Je regardais furtivement le Maître, celui-ci acquiesçait d’un hochement de tête, alors j’obéissais. Sitôt debout, Alice me palpait les bras, le cou, la poitrine, me pinçait les seins, examinait mes abdos, tâtait la musculature de mes cuisses, puis empoignait et pressait mes couilles, examinait mon sexe encore semi rigide, tirait ...
... douloureusement sur mon prépuce pour bien dégager mon gland, m’enfonçait ses doigts dans la bouche, m’imposant de l’écarter, scrutant soigneusement ma dentition, puis me faisait pencher en avant, écarter plus largement les cuisses pour expertiser, contrôler puis fouiller mon anus. Puis elle revenait devant moi, me giflait à deux reprises, comme ça, pour rien, juste pour le plaisir de m’humilier davantage. Je ne bougeais pas, ne bronchais pas, telle une marionnette je me laissais manipuler, comme on manipule un objet. Je n’étais plus qu’un pantin de chiffon… Je me détestais, me haïssais, mais aussi me délectais, me régalais, m’abandonnais, tout était paradoxe ! Mon esprit se perdait, abdiquait, je me sentais totalement dépossédé de mon être. Dévalorisé, perverti, débauché, totalement démuni, je sombrais dans la dépravation et le dévoiement, avec la queue raide comme jamais !
- Celui-ci me semble particulièrement docile !, lançait Alice
- Il l’est, lui répondait sobrement le Maître
- Sait-il prendre de bonnes queues, tant par la bouche que par le cul ?, interrogeait encore Alice
- Oui il sait !
- Et brouter un bon minou ?
- Il n’en a pas l’expérience, comment dire… ce n’est pas… Il préfère les hommes !
- Je suis certaine qu’il appréciera le mien, sinon ça chauffera pour lui, ça je peux lui le garantir.
- Il sait qu’il doit obéir à tout, il est là pour ça…
Cet échange continuait encore longtemps. Silencieux et impassible, je n’avais d’autre choix que d’écouter et ...