La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1534)
Datte: 17/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1533) -
Chapitre 9 bis : Le prêt -
- Va le chien, va renifler le cul de ton congénère, va faire connaissance avec cette pute qui t’offre son trou !, m’ordonnait le Maître …
J’avançais donc à quatre pattes vers celui qui n’avait d’autre possibilité que de s’offrir outrageusement. Je collais mon nez sur cette entrée intime. J’humais ces odeurs de cul, de sexe avec enivrement et ravissement. Je percevais ces effluves comme une puissance érotique mettant en éveil l’ensemble de mes sens. Ma queue ruisselait de désir… un désir incontrôlable ! Le Maître près de nous m’ordonnait maintenant de passer ma langue, de bien humidifier et lubrifier de ma salive cet anus mis à disposition. Là encore, mes papilles se délectaient de ces saveurs, c’était plus qu’agréable ! Je léchais, me régalais, broutais et bouffais cette corolle flétrie au gout de sperme, une véritable délectation. Mes gémissements étaient en accord avec les siens, telles deux salopes en chaleur, deux chiennes ayant besoin l’un et l’autre de prendre du plaisir sans aucune once de pudeur. Alors que je m’activais toujours, ma langue cherchant maintenant à pénétrer cet orifice humide, le Maître m’attrapait par mon collier pour me redresser.
- Reste à genoux salope et plante ta nouille bandante entre les fesses de romainsoumis, juste le bout de ta queue, enfonce seulement ton gland, rien que ton ...
... gland.
Puis le Maître s’adressait à Romain :
- Tu as intérêt à bien ouvrir ton cul de salope, si tu ne veux pas porter non-stop un gros gode pendant 48 heures au moins.
Romain avait très bien compris la consigne, je m’enfonçais en lui sans la moindre difficulté, comme si ma nouille érigée était aspirée dans son conduit brulant. J’eus du mal à ne pas l’empaler totalement. A cet instant, on frappait à la massive porte ouvragée du bureau.
- Ne bougez surtout pas, sinon vous pourriez le regretter…, nous menaçait le Noble sur un ton sans appel.
Walter entrait suivi d’une femme blonde aux cheveux longs, avec une mini-jupe en cuir, un corsage blanc largement dégrafé sur une poitrine opulente. Elle était perchée sur des escarpins à talons aiguilles. Elle me paraissait vulgaire, avec ce chewing-gum qu’elle mâchait ostensiblement, avec ce rouge à lèvres rouge écarlate, avec cette couche épaisse de fard à paupières sombre… On eut dit un travelo du bois de Boulogne.
- Bonsoir mon cher Edouard, je savais que je pouvais compter sur vous…, disait cette femme à la fois agitée et excitée
- Bonsoir Alice, comment allez-vous ?, lui répondait Monsieur le Marquis très calmement et souriant.
- Très bien, mon cher Edouard.
Alice jetait un bref regard hautain sur Romain et moi alors que le Maître la fit assoir près de Lui.
- Vous savez comme je suis, Edouard, je m’y prends toujours à la dernière minute… Pourtant, c’est un anniversaire important pour Jean. Il a soixante ans demain ...