Nymphomane, moi ? Tome III (17)
Datte: 17/12/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... rien, les cochons !
Il me souleva par les hanches et me laissa retomber de tout mon poids sur sa virilité tendue comme un arc. Je poussai des râles d’extase, des hoquets de plaisir, lorsque j’étais empalée jusqu’au tréfonds, des frissons me parcoururent. Je bougeai mon bassin d’avant en arrière.
— Oui, Victor dit Alfred, vous avez entendu ! Mademoiselle Trixie à l’air d’avoir besoin que l’on s’occupe de sa chatte, vu la grosseur que votre queue vient d’atteindre, je pense qu’elle devrait apprécier.
— Bien Monsieur, répondit le majordome. Un sourire satisfait sur les lèvres.
Ils entrèrent tous les deux dans la pièce. Victor quitta son pantalon, je souris en voyant ses jambes grêles, qui contrastaient avec les cuisses bronzées du jardinier. Sa queue par contre soutenait la comparaison.
— Pardon, si monsieur veut bien me permettre de me joindre aux ébats et si mademoiselle veut bien s’étendre sur le ventre de Monsieur. Dit Victor en me poussant doucement aux épaules.
Il s’installa entre mes cuisses, ses genoux serrant mes hanches. Le jardinier avait cessé ses mouvements pour lui laisser le temps de bien pénétrer ma chatte. Son gros gland écarta mes lèvres, puis le diamètre conséquent s’enfonça lentement dans ma féminité brûlante, gagnant avec application centimètre par centimètre, le gros phallus dans mon anus gênait un tant soit peu la progression du sexe de Victor.
— Mademoiselle est super bonne, dit-il, ma queue est entrée entièrement, dit-il avec une ...
... grosse pointe de jalousie.
Les hanches du majordome commencèrent à onduler, d’abord doucement, pour permettre à son partenaire d’ajuster ses pénétrations anales aux siennes. Une fois le rythme acquit les deux énormes pistons accélèrent la cadence. On aurait dit qu’ils se faisaient concurrence, c’était à celui me tirerait le plus de soupirs, de gémissements. Je me tordais de plaisir sur la poitrine du jardinier. Je voyais le regard lubrique d’ Alfred parcourir mes pointes de seins durcies gorgées de sang, puis regarder avec admiration les deux énormes bites s’enfoncer entièrement dans mes orifices et me tirer des cris de plaisir. Il se masturbait avec vigueur. Victor avait décapuchonné mon clitoris et augmentait mon plaisir en frottant amoureusement mon petit bouton rose avec son pouce.
Les mains rugueuses du jardinier malaxaient mes seins, pinçant les mamelons, jouant avec les deux perles d’hématite, y tirant dessus, à chaque tiraillement une légère douleur irradiait les globes durcis, j’adorai cette sensation. Mes cris de plaisir en étaient la preuve. Je m’étais complètement abandonnée, la tête rejetée en arrière, le jardinier me mordilla le lobe de l’oreille.
— Tu es vraiment une sale garce, murmura-t-il ! Tu aimes te faire baiser et en plus par des vieillards. Ces deux vieux débris te baisent souvent ensemble ? Tu aimes ma bite dans ton cul ?
— Ouuuiiiii, ouiiiiiii souvent, mais défonce moi, continue, continue je vais jouuuuiiir !
Victor me tenait fermement aux ...