1. Nymphomane, moi ? Tome III (17)


    Datte: 17/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... grosse bite. Si c’était un noir, de surcroît avec une bite aussi grosse que la sienne, il était aux anges, il me prenait ensuite avec un entrain décuplé. Le critère d’embauche de Victor, le vieux majordome, avait été la longueur et la grosseur de sa queue. Et le domestique ne désirait qu’une chose, c’était me sauter le plus souvent possible.
    
    Le vieil Alfred tirait parti de la situation, c’est pour cela qu’il me demandait de me promener ainsi vêtu, pour aguicher Victor, mater nos ébats et souvent y participer ! Il avait compris que lorsque une ou plusieurs personnes me regardaient en train de me faire baiser, cela m’excitait au maximum.
    
    — Voilà parfait. Dit-il, tu peux y aller. Attends ! Victor, regardez si Mademoiselle Trixie est excitée par ce que nous lui proposons.
    
    Le Majordome insinua son majeur dans ma chatte, fit un ou deux va et vient.
    
    — Oui Monsieur, elle commence à mouiller. Dois-je augmenter la lubrification ? Il avait déjà ajouté son index, ne demandant qu’a me tripoter.
    
    — Non, c’est très bien ainsi.
    
    Je retournai donc dans le living-room, descendis les trois marches, me dirigeai vers la table basse qui se trouvait à environ 1 mètre de la baie vitrée, pour faire un peu de rangement.
    
    L’homme était maintenant face à la porte vitrée, il dut sentir ma présence, car il leva la tête et regarda dans ma direction. Il eut l’air tétanisé par mon apparition, son plantoir resta figé à 20 cm du sol. Je le regardai, comme si j’étais étonnée de le voir là. ...
    ... La pièce était inondée de soleil, il devait apercevoir chaque détail de mon anatomie, pour qu’il puise en profiter, les ordres étant ce qu’ils étaient, je m’étirai en levant les bras langoureusement.
    
    La nuisette remonta lentement assez haut sur mes hanches presque jusqu’à mon nombril, découvrant mon mont de venus bien épilé, imberbe, laissant apercevoir la fente de ma chatte, mise en valeur par la mince ceinture de tissu noir en dentelle. Aguicher les hommes m’excitait au possible, je sentis ma chatte s’humidifier.
    
    Comme s’il n’existait pas, je vaquai à mes occupations, il ne me quitta pas des yeux. Je lui tournai le dos et me penchai pour débarrasser les revues et documents qui traînaient sur la petite table. Les lanières de mon porte-jarretelles bien tendues tranchaient sur la peau blanche de mes fesses. J’écartai un peu les jambes pour dévoiler la fente de mon sexe. Je lui fis face à nouveau, pour se donner de la contenance, il fit semblant de rempoter, au ras de la porte une plante, mais ses yeux étaient rivés sur moi.
    
    Arrangeant mon collier de seins, resserrant les nœuds sur mes mamelons, je me dirigeai lentement sur mes hauts talons, vers la baie vitrée. Faisant semblant de m’intéresser à son travail, je plaquai mes seins contre le verre. Le contact froid fit durcir encore un peu plus mes tétons, la chair de poule granula mes aréoles.
    
    Je tournai ensuite les talons, j arrangeai les cousins sur le canapé, tout en jetant un coup d’œil par-dessus mon épaule. Le ...
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