Nymphomane, moi ? Tome III (17)
Datte: 17/12/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... désagréables du tout.
Il dut s’en apercevoir, car son index, se positionna à l’entrée de mon anus, puis il l’enfonça avec délicatesse et effectua de lents va et vient, tandis que sa bouche s’occupait toujours de mon vagin.
Ses lèvres aspirèrent mon clito, ses dents l’enserrèrent avec une infinie délicatesse.
Puis sa langue pénétra l’orifice béant et humide de foutre, qu’elle fouilla avec ardeur.
— Putain, c’est délicieux ce que tu me fais goûter...
Je me caressai les seins, tirai sur mes tétons, gémissant de plus en plus fort. Je regardai la fenêtre, Victor monté sur une brouette était en train de branler son énorme bite. Je le regardai langoureusement, je savais qu’il était jaloux lorsqu’un homme me baisait. Et j’aimais bien attiser cette jalousie. Alfred devait en faire autant, m’épier, la masturbation devait battre son plein.
L’horticulteur me fit mettre à plat ventre sur le plan de travail, les seins aplatis sur le froid du carrelage. Il se mit debout devant moi, je lui caressai la verge à travers le pantalon. Ma langue lécha l’étoffe rugueuse du jean, ma bouche mordit le dur rouleau, tandis qu’il planta son majeur dans mon anus et titilla le petit orifice rond. Il déboucla sa ceinture, je descendis le zip de sa fermeture éclair, ma main plongea dans la braguette. J’extirpai non sans mal sa queue, elle était en tout point semblable à celle de Victor, mais vu la jeunesse de son propriétaire, elle me sembla plus ferme et un peu plus ...
... grosse
Je tirai le prépuce en arrière et enfournai son gland dans ma bouche tout en masturbant la longue hampe. La tête d’Alfred dépassa de la porte, le regardant amoureusement, ma langue titilla le méat urinaire, fit plusieurs fois le tour du gland mauve, puis j’avalai doucement le gros rouleau tendu. Il glissa de plus en plus profondément dans ma gorge. J’écartai au maximum les jambes pour que Victor puisse bien voir ma chatte trempée, une petite flaque de foutre était en train de se former sur les carreaux. J’espérai qu’il la remarque.
Le jardinier me fit mettre sur le dos, les fesses au bord de la table de travail. J’ouvris largement les cuisses. Il glissa ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelles, son gland comme la tête d’un missile téléguidé trouva l’ouverture de mon orifice vaginal. La pénétration fut grandement facilitée par le liquide séminal poisseux qui s’en écoulait. Il commença à me besogner à grands coups de reins, enfonçant sa queue jusqu’à ce que ses poils frottent mon pubis.
— Tiens, dit-il, il y a le vieux domestique qui nous mate par la fenêtre, je crois qu’il se branle, le salaud, il a une sacré queue, le vieux !! Il te la met souvent, non ? C’est pour ça que je n’ai pas forcé pour te pénétrer, petite salope. Tu aimes te faire baiser par les croulants ? L’autre vieux ne doit pas donner sa part au chat ?
— Ouuui, Oui, surtout par Victor, sa queue est comme la tienne énorme, il sait me faire jouir ! Hoooo putain c’est bon, tu me baise ...