1. Nymphomane, moi ? Tome III (17)


    Datte: 17/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... poisson avait l’air ferré, il frétillait. Alfred qui épiait sûrement devait être satisfait, Victor lui aussi ne devait rien manquer du manège.
    
    En me dirigeant vers la cuisine, j’entendis la porte-fenêtre s’ouvrir. Des pas étouffés, une respiration saccadée. Je passai derrière la banque qui séparait le coin repas de la kitchenette, pris une éponge et nettoyai la surface carrelée.
    
    Il entra, sans un mot passa derrière moi, ses mains se posèrent sur mes hanches, caressèrent le devant de mon porte-jarretelles et remontèrent doucement sous la nuisette pour me saisir les seins qu’il malaxa délicatement. Ses pouces et ses index s’emparèrent de mes mamelons qu’il se mit à faire rouler, mon buste se tendit vers l’avant. Sa bouche se posa dans mon cou et il se mit à me donner de petits coups de langue.
    
    — C’est rare de voir une nana avec un tel bijou pour mettre en valeur ses nichons, c’est vachement excitant Salope ! Tu fais toujours le ménage habillée ainsi ? C’est les deux vieux qui doivent être contents ! Ils te baisent ?
    
    — ....
    
    — Alors tu réponds ! Je sûr que oui ! Putain ce que ton porte-jarretelles te met en valeur, et que tes tétons sont longs et raides, tu aimes leurs vieilles bites ?
    
    Son bas-ventre se pressait contre la peau nue de mon postérieur, il bandait dur. La bite, qu’il frotta dans la raie de mes fesses, devait être de la longueur et de la grosseur de celle de Victor, c’était à croire qu’ Alfred m’embauchait que des mecs avec des sexes conséquents, je ...
    ... me demandais s’il avait exigé qu’il lui la montre ! En pensant à lui, j’entendis la porte du fond de la cuisine s’ouvrir. Il ne devait rien perdre de ce qui se passait. Jetant un regard à la fenêtre, je vis Victor qui me fit un clin d’œil.
    
    Une des mains du jardinier était passée sous mon porte-jarretelles et descendue sur mon sexe, il avait entré son majeur dans ma chatte, il était trop accaparé pour remarquer que nous étions épiés. Je me décalai un peu pour que mes vieux voyeurs puissent profiter au maximum du spectacle. Il me fit pencher en avant, relever la jambe gauche, faisant pendre appui à mon genoux sur le plan de travail.
    
    Cette position me dégagea entièrement le sexe. Il se mit à genoux, ses pouces écartèrent mes petites lèvres pour bien ouvrir ma chatte, ses attouchements commencèrent vraiment à me faire mouiller abondamment. La pointe de sa langue, s’insinua dans mon orifice vaginal, mais pas profondément, puis elle remonta doucement le long du méat urinaire, pour titiller mon clitoris qu’il décapuchonna avec son index. Cette lente caresse me fit gémir de plaisir et me donna la chair de poule. Sa langue s’enroula autour de mon petit bouton rose, je sentis qu’il gonflait et durcissait. Des traits de feu s’en irradièrent et montèrent dans mon ventre. Je lui appuyai sur l’arrière de la tête pour l’empêcher de cesser ce merveilleux frôlement buccal. Sa barbe frotta doucement mon raphé du périnée. Cela me provoqua de légères contractions anales qui ne furent pas ...
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