1. Un serpent dans son sein


    Datte: 16/12/2021, Catégories: fhh, hbi, candaul, forêt, hotel, vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... dis que tu m’as VUE, alors que c’est une pute que tu regardais. Bravo ! Vraiment bravo ! Et tu n’as pas fait que cela, quand je t’ai demandé d’aller au lit tu m’as dit texto : « Suce-moi comme tu suces les deux blacks ». Tu étais tellement ivre que je n’ai même pas cherché à discuter. Alors j’ai essayé. Mais tu étais tellement imbibé que tu ne bandais même pas et en plus tu t’es endormi.
    
    Waouh. Elle m’a balancé ça d’une seule traite avec une colère sourde dans la voix. Mes idées sont tellement bizarres ! Pour la télé, je me suis en effet réveillé devant.
    
    — Bon d’accord, admettons. Mais reconnais que j’avais de quoi me faire un film. Et je n’en étais pas si loin puisque tu les as sucés tous les deux pour les faire jouir.
    — Et toi, avec Annie comme maîtresse, tu crois que ça m’a plu ? Que tu m’aies balancé ton copain dans les pattes pour que tu sois plus tranquille, tu crois que ça m’a plu ?
    — Pour Damien, je reconnais. Tout le monde y a trouvé son intérêt, non ? Mais pour Annie, ce n’est pas vrai.
    — Mais, j’ai vu que…
    — Tu as vu que je discutais avec elle, pas que je couchais avec elle.
    — Comment je peux te croire ?
    — Je te jure sur la tête de notre fils qu’Annie n’est pas ma maîtresse. Juste une confidente.
    
    Je vois bien qu’elle doute. Elle sait combien j’aime notre fils et que jamais je ne mentirais ainsi.
    
    — Ah, alors, si ce n’est pas elle, c’est qui ?
    — La collègue comme je t’ai déjà dit.
    
    Un long silence.
    
    ******
    
    La crampe était arrivée sans ...
    ... prévenir. Voilà ce que c’est de ne pas suffisamment s’hydrater. En haut de la cuisse. Un mal de chien. Damien, toujours prévoyant, avait avec lui une petite pastille de sel qui devait faire son effet. Mais la crampe passée, ma cuisse est encore douloureuse. Pas question de courir. En plus il fait un temps de chien et on s’est réfugié dans un « tipi » comme les enfants en parsèment la forêt, fait de bouts de bois mort. Celui-ci est particulièrement soigné, presque étanche.
    
    En plus de la pastille, il a une crème. Il me propose de me masser avec. Mon short est large, pas celui que j’utilise normalement, mais Camille a oublié de le mettre à la machine.
    
    Il me masse. Doucement la crème fait son office, le muscle se réchauffe et se décontracte. Il pleut des cordes. Ses mains montent jusqu’à la liaison de la cuisse et de la hanche. Ses mouvements sont amples, par moment je sens sa main contre mes bourses. Ce n’est pas désagréable. Une douce chaleur part de ma cuisse et se répand. La pluie fait un bruit d’enfer. Les gamins ont drôlement bien travaillé, les branchages et la mousse font de ce tipi une vraie protection.
    
    Je suis bien. Mais Damien arrête son massage. Je baisse la tête. Nos regards se croisent, il me sourit. Je vais le remercier, mais je vois qu’il y a autre chose. Je suis ses yeux, il regarde vers ma cuisse. Ma cuisse et… oh, merde, je bande. Mon short déjà un peu humide de la pluie ne peut cacher la bosse. Il pose sa main.
    
    — Waouh ! C’est du solide.
    — Je suis ...
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