1. Un serpent dans son sein


    Datte: 16/12/2021, Catégories: fhh, hbi, candaul, forêt, hotel, vengeance, Oral pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, hsodo, confession, Auteur: DeuxD, Source: Revebebe

    ... désolé. Je ne sais pas ce qui me prend. Excuse-moi.
    — Ne t’excuse pas. C’est bien normal. La preuve que mon massage est efficace. Il a déplacé la crampe.
    
    Il rit. Je ne peux que reconnaître le jeu de mots. Mais il continue.
    
    — Tu ne peux pas rester comme ça. Je vais m’en occuper aussi.
    — Damien, ce n’est pas…
    — Laisse, ça me fait plaisir.
    
    Sa main fait plus que constater. Elle masse au travers du tissu. L’autre passe entre short et peau et vient au contact de ma queue. Je suis mal à l’aise et pourtant je ne débande pas.
    
    Il essaie de faire sortir ma bite du short par le passage de la cuisse, mais je suis trop bandé et elle résiste.
    
    — Eh bien, utilisons les grands moyens. Aide-moi.
    
    Il tire sur mon short entraînant le slip avec. Sans réfléchir, je me soulève du tronc qui me sert de siège. Je me retrouve nu devant lui. Ce n’est pas la première fois, il est venu une fois à la maison après notre footing, sa douche était en panne. Camille était au marché. Mais ma nudité est provocante. Mon satané mandrin continue de faire des siennes, gros et dur comme pour ma femme.
    
    On se regarde.
    
    — Attends ! Je vais te débarrasser de ça.
    
    Ça paraît presque naturel. Sauf que je le vois se pencher vers moi. Je ne sais pas pourquoi, mais je pensais qu’il allait me branler avec une main. Je pose la mienne sur sa tête pour l’arrêter.
    
    — Qu’est-ce que tu fais ?
    
    Il montre ses mains.
    
    — J’ai encore de la crème. Ça risquerait de trop te chauffer.
    
    Et sans plus de ...
    ... formalité, il pose ses lèvres sur mon ventre, et en descendant, se saisit de mon gland, décollant ma bite de son coussin. Alors il commence à me sucer. Je ne peux pas dire branler, bien que ses lèvres en fassent le mouvement, non, comme une femme, comme ma femme il me pompe.
    
    Ce n’est plus, en réalité cela ne l’a jamais été, une branlette pour faire disparaître une érection malvenue. C’est bien mieux… C’est bien pire… Une vraie fellation. Je me laisse faire. Dès qu’il a posé ses lèvres sur mon ventre et que mon gland a découvert la chaleur humide de sa gorge, je suis vaincu.
    
    Un homme me suce. Dans une cabane au fond d’un bois, je suis en train de me faire pomper le dard, lécher les couilles, par un mec. Un mec à genoux devant moi, comme ma femme le fait. J’ai même l’impression qu’il a plus de facilité. Pourtant Camille fait de son mieux. Je sais que je suis trop dur parfois, dur et d’un bon diamètre. L’homme, Damien a une bouche probablement plus grande qu’elle.
    
    Putain, cela me rappelle la fois où en déplacement je m’étais fait sucer par une pute, une belle noire, plantureuse, avec des lèvres ourlées, un regard vicieux et une façon de me serrer mes couilles alors que j’éjaculais comme on presse un citron pour en extraire le jus.
    
    C’est bon. Merde, je ne devrais pas ! Je devrais avoir honte ! Mais honte de quoi ? Je n’ai rien demandé ! C’est lui qui. D’ailleurs il s’est proposé bien facilement. Comme s’il avait l’habitude. Pourtant il est marié et je sais que depuis que sa ...
«12...456...22»