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Le manoir du péché (16)
Datte: 16/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds
... de volupté, ma verge plongée dans un magma incandescent, je compris que si elle ne ralentissait pas son allure, je ne pourrais contenir longtemps le plaisir que je sentais monter de mes entrailles. - Oh oui !... Je pars !... Grogna-t-elle à mon attention… Oh, putain que c’est bon !... Oh, se plaignit-elle sous la houle qui lui traversait le bas-ventre… C’est trop bon !... Oui !... Ça vient… Oh, non, je vais jouir !... À chacun de ses assauts je sentais que je touchais bien le fond de son sexe. Je me saisissais des deux mains ses fesses. Que je mis un plaisir à malaxer, les écarter pendant que mes testicules se vidaient au plus profond de son ventre Une fois sorti de ses entailles, la patronne assista fortement pour que j’aille me rendre jusqu’à la salle de bains pour faire une petite toilette réparatrice. Que fut ma surprise en ouvrant la porte de tomber nez à nez avec Agnès. La coquine jouait les voyeuses à présent. - Eh bien ! me fit-elle, quel excitant spectacle. Mieux qu’un film porno ! Elle portait une guêpière toute de dentelles de satin noir. Les bonnets ne couvraient que le dessous des seins. Quant au slip assorti, moulait à la perfection les renflées de son sexe. La large tache humide qui humidifiait la bande de nylon était là comme pour attester le plaisir qu‘elle avait pris à nous espionner. Avant que j’aie eu le temps de mieux la scruter, je fus entraîner de nouveau à l’intérieur de la chambre. - Eh bien, cela me rappelle le bon vieux temps ! ...
... Quand tu gémissais sous les feux de ma langue, frangine. Fit-Agnès, en se contorsionnant pour dégrafer sa guêpière. À se demander pourquoi elle se l’était passer. Libérant ainsi, ses seins moites de sueur qui, privés de leur soutien, s’affaissèrent mollement sur son torse. Puis ce fut au tour de sa culotte, qu’elle repoussa sur ses cuisses et le long de ses jambes, et cela jusqu’au parquet. Et sans perdre un seul instant elle alla rejoindre sa sœur sur le lit, s’allongea à ses côtés. Avant de l’embrasser à pleine bouche. L’esprit complètement embrumé par ce qui ce dérouler devant moi, je m’avançait à mon tour jusqu’au lit pour être au plus près de l‘action. Là, ma propre patronne, me fit part, qu’elle et Agnès avaient eu jadis des aventures, qu‘elle qualifia de très spéciaux. Cela me donna des frissons Sur le lit on aurait dit qu’elles étaient ivres toutes les deux tant leurs comportements étaient des plus insolites. Agissant comme si je n‘étais pas là. Ce fut Agnès qui fit les premiers gestes qui me laissèrent bouche bée. Elle commença par pétrir ses seins, puis elle glissa ses mains lentement le long de son corps jusqu’à son pubis. La patronne la regardait, complètement figée, alors que la frangine ouvrait sa vulve avec ses doigts, dont je pouvais entrevoir de ma hauteur, la chair crue d’où suintait une source de sécrétion brûlante. Elle posa sa main droite sur son ventre rond, qu’elle glissait lentement jusqu’à ça fissure. Enfonçant deux doigts dans sa tirelire. ...