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Le manoir du péché (16)
Datte: 16/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds
... pour moi la source se tarit. Elle propulsa quelques jets et attendit que les dernières gouttes dorées s’écoulèrent entre ses lèvres enflées, avant de se redresser. Un frisson traversa mes reins alors qu’elle désertait sa place. - Vous êtes Alain des plus spéciaux. Une espèce de dégoûtant ! Voyeur et pervers ! Me lança-t-elle, se déplaçant pour rejoindre son lit, d’une démarche provocante. - Je me trompe Alain ? Ajouta-t-elle en pivotant sur elle-même. Et voyant que je n’étais pas derrière elle ajouta : - Mais approchez donc. Elle attendit que je fasse les quelques pas qui me séparer d’elle pour me tendre son bras pour approcher la culotte qu’elle tenait toujours en main tout près de mon visage. Elle me dit alors, sur un ton amusé : - Ça doit sentir la cochonne ? Non Alain, je compte sur vous pour être honnête avec moi ? Et tout me dire… - Effectivement madame, je dirai qui exhale de votre belle petite culotte des senteurs assommantes. - J’en étais certaine. Comme vous pouvez le percevoir, je connais parfaitement vos goûts de pervers. Lança-t-elle en me donnant sa culotte. Me laissant en tête à tête avec sa lingerie alors qu’elle profitait de cet instant pour retirer tout ce qui la gêner sur ma personne, et pouvoir ainsi en toute liberté me tripoter la verge. Plus que jamais j’avais envie d’elle. Elle s’agenouilla, et enfouit en toute familiarité sa tête entre mes fesses. Elle me lécha l’anus tout en me branlant la verge. Peu à peu le plaisir ...
... m’envahit. Et comme elle était une parfaite experte en la matière, elle jugea qu’il était préférable de s’arrêter là. Elle se leva d’un bloc et tout en se passant la langue sur ses lèvres, elle se laissa tomber sur son lit, où elle se renversa sur le dos, les cuisses largement ouvertes. Prenant cela pour une invite, j’enfouis ma tête entre ses jambes et je la léchais. Glissant le bout de ma langue dans les replis humides qu’avait cultivé son excitation. Une forte odeur s’en dégageait. Un mélange exquis que seul un sexe de femme peut offrir. Elle se cambra afin de mieux soumettre sa chatte ruisselante au sensuel léchage que je lui prodiguais. Véritable femelle en rut, elle clama haut et fort son plaisir dans un langage que je formulerai imager : - C’est trop bon votre langue dans mon con !... Oh oui ! Avalez mon foutre !… Régalez-vous, nourrissez-vous… Oh non ! Vous me faites pisser de plaisir... Buvez, buvez ceci est ma source… Je la mâchonnais. Il s’en dégageait encore et toujours une odeur marine. Je lui prodiguais l'hommage qu‘elle méritait. Je m’acharnais sur son clitoris. Son ventre fut agité de spasmes violents et mon visage éclaboussait d’éjaculations. J’attendais qu’elle soit à bout, pour recracher son bouton. Jouissant de sa récupération, je lui relevais ses jambes. Et approchais ma bouche du petit trou du cul. J’aimais beaucoup l'odeur poivrée qui s’en dégager. Je ne pus me retenir d’y passer une langue. Avalant les petites boulettes brunes mal ...