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Le manoir du péché (16)
Datte: 16/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds
... est ma source… Je la mâchonnais. Il s’en dégageait encore et toujours une odeur marine. Je lui prodiguais l'hommage qu‘elle méritait. Je m’acharnais sur son clitoris. Son ventre fut agité de spasmes violents et mon visage éclaboussait d’éjaculations. J’attendais qu’elle soit à bout, pour recracher son bouton. Jouissant de sa récupération, je lui relevais ses jambes. Et approchais ma bouche du petit trou du cul. J’aimais beaucoup l'odeur poivrée qui s’en dégager. Je ne pus me retenir d’y passer une langue. Avalant les petites boulettes brunes mal essuyées d'un précédent passage aux toilettes. Comme la zone était très sensible, cela provoqua chez elle quelques gémissements de volupté. M’encourageant à faire durer l'action un peu plus que nécessaire. Ce fut elle qui me donna le signal de tout cesser. Préférant d’assouvir immédiatement son besoin d‘être remplie. Les jambes largement écartées afin de me chevaucher. Lançant sa main en direction de mon bas-ventre. Elle s’empara de ma verge dressée qu’elle maintenait verticalement au-dessous de sa chatte béante. Puis lorsqu’elle sentit mon gland au contact de ses grandes lèvres sexuelles, elle se laissa tomber de tout son poids, s’empalant profondément sur mon pieu de chair, dans un long râle de bonheur. Je percevais avec émotion la chaleur des muqueuses féminines autour de ma verge gonflée. Comme si mon membre se trouvait plongé dans un pot de miel. Un étrange bien-être sexuel m’envahit, accentuait par la patronne qui, ...
... impatiente d’être labourée, commença à agiter son popotin rebondie. Ahanant, elle entama une lente et sensuelle chevauchée, faisant coulisser les muqueuses gorgées de suc de sa vulve enflammée, le long du membre viril prisonnier. Elle me fixait d’un regard émerveillé, les lèvres entrouvertes laissant échapper un doux gémissement de plaisir. Je portais mon regard sur sa toison. Une fourrure crépue qui se mêlait à mes propres poils pubiens, chaque fois qu’elle se laissait retomber sur mes cuisses pour s’empaler avec une rage hystérique. Après un moment passé à admirer ma verge apparaître et disparaître de son antre, je m’intéressais à sa danse érotique. Celle-là même qui faisaient sautiller ses seins sous l‘assaut. J’avançais mes mains pour les saisir, les empaumant délicatement. Les pressant fiévreusement. Frottant les mamelons gonflés de désir contre mes paumes. Agaçant les tétons fort érigeaient par l‘excitation. Elle arqua ses reins afin de mieux m’offrir sa poitrine, tout en activant la cadence de sa chevauchée. S’empalant sur le pieu de chair avec de plus en plus de frénésies. Incapable de contenir ses émotions, elle laissa échapper ses cris de jouissance qui résonnèrent dans la pièce. Parfaite écuyère sensuelle, elle agita fiévreusement sa croupe nerveuse à la recherche de son plaisir. Il s’élevait de sa chatte furieusement barattée, un affolant bruit de clapotis. Comme je sentais aussi un chaud liquide s’infiltrer entre mes jambes et me tremper les couilles. Ivre ...