1. Le manoir du péché (16)


    Datte: 16/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds

    ... une de ses jambes au-dessus de moi, et tout en s’accroupissant, approcha son fruit mûr de ma figure. Jusqu‘à ce que sa vulve vienne délicatement se coller sur le bout du gode. Avec souplesse, dans un mouvement d’avant en arrière, et de haut en bas, la coquine fit disparaître toute la longueur du gode dans sa chatte.
    
    Toutes deux étaient ainsi bien embrochés, et profitèrent de leur position pour pratiquer un bouche-à-bouche ardent. Mes mains s’emparèrent des seins de la patronne, les couvrirent de caresses. Leurs donnant l’affection et de l’amour. Mon érection atteignait son comble. Ma verge tressaillait dans la chaleur du ventre de ma patronne. À ne pas pouvoir résister à l’envie de m’épancher dans la chatte assoiffée de ma patronne. Que seul mon sperme la nourrissait, et cela depuis quelques mois déjà. Agnès quant à elle se branlait toujours sur le gode. Avec la ferme intention de se procurer un maximum de sensation. Ses yeux exprimaient l’infini plaisir qu’elle prenait.
    
    Le souffle court, elle se cajolait le minou, tout en oscillant du bassin de bas en haut, de plus en plus fort, avec des mouvements plus amples. J’oubliais un temps ma patronne, pour me concentrer sur le plaisir de la frangine. Dont les ondulations de son bassin étaient de plus en plus fortes et appuyées.
    
    Elle s’agrippa les seins des deux mains et se les torturait gentiment en étirant les tétons saillants. Elle haletait de plus en plus fort, ses gémissements se transformaient en cris. Elle se ...
    ... lâchait complètement. Comme si elle était seule. Elle poussait un cri. Pas un cri strident non, un petit cri du bout des lèvres, en soufflant tout l’air de ses poumons. Et surtout, en jouissant elle inondait mon visage, de sa jouissance. Et ça coulait ! Ça n’arrêtait pas ! Une vraie fontaine, une source de jouvence.
    
    J’attendais qu’elle se calme, pour lui faire comprendre qu’il était temps pour moi qu’elle se retire. Avant que je finisse noyer. Seulement au moment où j’essayais de me libérer, elle resserrait les jambes pour garder prisonnier le gode avecun grognement de désapprobation.
    
    Je comprenais qu’elle souhaitait prolonger un peu plus ce moment fabuleux, mais cela ne me semblait absolument pas raisonnable. En prenant bien soin de ne pas la brusquer, je l’invitais à se retirer. Elle me regardait, alors qu’un très beau sourire illuminait son visage.
    
    Pendant qu’elle me fixait, je profitais pour retirer le gode. Et sans la lâcher des yeux, je le portais à mes lèvres. Le goût ! Un délice. Du miel. Si doux. Son sourire était encore plus grand, alors que ses yeux pétillaient de contentement en me voyant faire.
    
    Puis elle se leva gracieusement, et cela tout en me fixant, avec ce même sourire sur son visage, elle alla très lentement rejoindre sa sœur dans sa salle de bain. Et elle ne prit pas la peine de fermer la porte. Dès fois que…
    
    offert, poitrine palpitante, je sentais mes pudiques bonnes résolutions voler en éclats.
    
    Assez pour me donner envie de m’agenouiller au ...