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Le manoir du péché (16)
Datte: 16/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Alainylon, Source: Hds
... douloureuse. Mais pas le temps de m’offusquer que déjà la bouche de sa sœur la remplaçait, tout aussi avide et experte. Laquelle s’était sans façon assise à côté de sa sœur dans le but évident de partager avec elle ma verge. - Eh, dit, faut pas te gêner surtout ! Protesta la patronne, l’œil étincelant. C’est tout de même mon amant. Agnès interrompit sa fellation gourmande pour tourna sa tête vers sa frangine, avec un petit sourire allumé, elle lâcha : - Et alors ? Et ce fut avec un ensemble parfait, que les deux sœurs relevèrent la tête vers moi, m’interrogeant du regard. - Qu’est-ce que vous en pensez ? Me firent-elles en cœur. Sans prendre la peine de répondre, je pris un malin plaisir de Fixer mon regard sur les cuisses dénudées de ma patronne, puis celle d’Agnès. Jouissant du spectacle qu’elles m’offraient. Tout en me fixant, Agnès posa ses lèvres fiévreuses à la base du cou de sa sœur, qui émit un petit sifflement de satisfaction. Sans rien faire pour repousser sa frangine, tout au contraire, elles prirent la position. De voir ces deux femmes s’enlacer, jambes ouvertes, ventre offert, poitrine palpitante, je sentais mes pudiques bonnes résolutions voler en éclats. Assez pour me donner envie de m’agenouiller au pied du lit, un genou entre les jambes de ma patronne, l’autre entre celles d’Agnès. Les deux coquines s’embrassaient goulûment, tout en se caressant mutuellement les seins, sans s‘intéresser à moi. Pris d’envie, je plongeais mes lèvres ...
... dans la touffeur moite du buisson intime et flamboyant de ma patronne, et darda ma langue au centre de la corolle frémissante et nacrée. Sous ma caresse, elle fit un brusque sursaut, et ses lèvres se dessoudèrent de celle d’Agnès. Rendu fou de désir par les fragrances lourdes qui émanaient de la fleur affolante que je butinais de nouveau, je n’arrivais pas à me dissuader de faire de même avec celle d’Agnès. En tout cas, pas avant d’avoir mener celle que je suçais de nouveau au plaisir. Ce qui se réalisa dans un temps très court. Et cela dans une longue plainte rauque, le corps totalement arqué sous le fouet du plaisir. - Bon ! Fit Agnès, sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. Il est temps que tu t’occupes un peu de moi maintenant, tu ne crois pas ? Elle releva pour ça ses genoux, afin d’exhiber son sexe en une invite très explicite. Comme téléguider, mes mains se saisirent des deux cuisses, qu’elles écartèrent pour permettre à ma bouche de se poser sur le fruit juteux. De deux doigts, j’ouvrai la voie pour y planter ma langue. Pendant ce temps là, la patronne ivre de désir, me chevaucha de nouveau. Entièrement empalée, elle commença son activité. Se balançant sur ma verge. Me la maintenant au chaud dans un four accueillant, humide, souple, aux contractions de velours. Après avoir joui grâce à mon jeu de langue, Agnès sortit de nulle part un gode bouche, et me l’arrima. Après s’être assuré qu’il était bien fixé, elle grimpa sur le lit. Elle fit passer ...