L'auberge espagnole
Datte: 08/08/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
Collègues / Travail
intermast,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fdanus,
fsodo,
Auteur: Bouzi, Source: Revebebe
... chair de poule. Puis ses lèvres glissent doucement sur ma peau ; je suis tout émoustillée par ses attouchements. Je ne suis pas la seule d’ailleurs car je sens bien contre ma hanche une raideur d’une taille impressionnante. J’ouvre les yeux. Son visage est tourné vers moi, presque inquiet de sa propre audace. Je le rassure d’un sourire.
Je me mets à genoux pour faire tomber le pantalon du grand blond. Le sexe de Stephen est grand, son gland sort de son boxer. Prise d’une envie, je fais tomber son boxer pour prendre son sexe dans ma main. Doucement, j’imprime un va-et-vient avec mon poignet, puis la gourmandise m’emporte et je passe ma langue sur son gland. Un frisson le parcourt et il m’attrape les cheveux. Je me laisse faire, offerte à cent pour cent. Il me baise la bouche.
Sentant son orgasme venir, il arrête ses va-et-vient. Il me soulève comme une plume et me coince contre le mur de la chambre. Mes jambes cherchent un appui en enveloppant ses larges hanches, et la plume que je suis devenue descend lentement pour venir buter contre son sexe érigé. Et il m’envahit, m’investit. Ma chatte est pleine, si sensible de l’abstinence de deux mois. Je suis plantée sur le pieu. Des coups de reins de mon envahisseur montrent son impatience et la raideur de son hommage. C’est bon de n’être qu’une chatte crucifiée contre un mur. Chaque coup est une joie, une envie retenue qui se libère.
— Baise-moi.
Il continue à me pistonner tout en me portant jusqu’au lit, puis m’y ...
... dépose. D’un geste, il me demande de me tourner. À quatre pattes sur le lit, ses mains me soulèvent pour me tirer sur le bord. D’un coup, sa queue retrouve le chemin de ma chatte. Chaque avancée est accompagnée d’un « han ! » de bûcheron et je l’accompagne dans sa mélodie. Ses mains agrippent mes hanches avec brutalité, me tirant à lui autant que lui s’avance. Le choc des chairs accompagne le délicieux « floc-floc » du piston dans mon conduit maintenant dilaté et ruisselant.
C’est le moment choisi par Dieter pour entrer dans ma chambre. Passée la surprise de me voir dans cette position, il reprend vite ses esprits et se rapproche, bien décidé à profiter de la situation et de moi.
Rapidement, il défait son pantalon et présente son sexe devant ma bouche ; il bande très fort. Je le prends en main, le branle énergiquement, toujours animée par la sauvage pénétration. Je glisse ma main sous les testicules, les serre doucement, attire le gland vers ma bouche. Ma langue le lèche, mes lèvres avalent toute la tige. Je suce ce nouveau sexe avec toute mon énergie. Je suce sa verge avec application et gourmandise. Sa bite est ma sucette que je lèche tout le long jusqu’à ce que les bourses trouvent le chemin de ma bouche où je les gobe entièrement l’une après l’autre.
Stephen n’est pas immobile. Tout en me pilonnant, il me caresse les seins et le clitoris. Une queue entre les lèvres, l’autre dans la chatte, je suis chaude à brûler. Ma fente coule. La queue de Stephen me bourre à fond, ...