1. L'auberge espagnole


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fh, fhhh, Collègues / Travail intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Bouzi, Source: Revebebe

    ... espèce de besoin bestial qui fait frissonner mon corps dès qu’un homme se rapproche de moi ou qu’il me touche.
    
    En plus, ces hommes que je côtoie tous les jours et qui viennent régulièrement squatter ma chambre sont charmants, voire très charmants. Enzo est très grand, barbu, cheveux très noirs avec des yeux bleus, d’une douceur et d’une sensualité incroyable ; Dieter est sec, pointu, avec des yeux noirs perçants. Autant Stephen est l’archétype du Suédois, grand costaud, blond aux yeux bleus, autant Juan n’a rien du stéréotype espagnol : il est châtain, plutôt pâle de peau mais il respire le sexe et la sensualité, celle qui influe sur vos pensées et vous fait le regarder avec un regard de gourmande.
    
    En deux mois d’abstinence, mon vibro est devenu mon meilleur ami ; tous les soirs il me tient compagnie.
    
    Seulement, mes compagnons d’aventure, eux, sont tous célibataires et nous avons tellement de travail qu’ils en sont à bien plus de deux mois d’abstinence. Et toutes nos conversations finissent par dériver sur le sexe. Au début, c’était drôle et innocent, puis j’ai commencé à les trouver lourds ; aujourd’hui, chaque allusion m’émeut et me fait mouiller comme une pucelle.
    
    Hier, après une visite de Juan et une discussion très orientée cul, je me suis retrouvée à fantasmer sur lui. Mon rêve a été torride :
    
    J’étais en train de revivre mon rêve quand Stephen est entré. J’essaie de ne pas montrer mon trouble et essaie d’avoir un air dégagé.
    
    — Tu veux quoi : thé ? ...
    ... Café ?
    — En fait, je pense que j’ai plus besoin d’un remontant que d’un café. Tu me servirais un rhum ?
    
    Il s’installe sur mon lit, à moitié affalé, son verre à la main. Nous discutons boulot, puis de fil en aiguille de la nouvelle stagiaire qui le rend dingue. Elle passe la journée à l’allumer mais quand il se rapproche d’elle, elle fuit.
    
    Je me sers un verre et m’assois sur le fauteuil en face de lui ; je suis légèrement tournée vers lui pour le regarder parler. Je vois sa bouche esquisser un sourire.
    
    « M… ! J’ai oublié de mettre une culotte. » Perdue dans mes pensées après ma douche, j’ai passé ma robe directement sur la peau, sans rien d’autre. Quelle gourde ! À ma décharge, il m’arrive de me balader sans culotte et sans soutif. Mon mari adore. Mais c’est en vacances ou en week-end. Pas au boulot ; je ne suis pas une allumeuse !
    
    Je comprends maintenant son sourire béat. Le rustre a une vue directe sur ma chatte épilée. En plus, mes lèvres intimes sont encore mouillées de mes rêveries lubriques.
    
    Il se lève. C’est vrai qu’il n’est pas mal du tout. Carrure d’athlète. Hanches étroites et petit cul. Il faut que j’arrête de le détailler ; je ne suis pas discrète.
    
    Il est debout. Je suis paralysée par ce qu’il va faire, immobile sur ma chaise alors qu’il se rapproche. Ses bras puissants me soulèvent, il me plaque contre le mur. Je me laisse faire. Il tire sur ma robe pour me laisser nue. Sa main explore mon corps, d’abord ma lourde poitrine, traçant des sillons de ...
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