1. L'auberge espagnole


    Datte: 08/08/2018, Catégories: fh, fhhh, Collègues / Travail intermast, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fdanus, fsodo, Auteur: Bouzi, Source: Revebebe

    ... cheville énorme qui me dilate.
    
    Dieter ne tarda pas à avoir des convulsions et explose dans ma bouche, libérant tout son sperme. Il a lâché une telle quantité de sperme que je n’arrive pas à tout avaler ; une partie coule sur son menton et mes seins.
    
    Je me fige, subissant toujours une pénétration de plus en plus violente. Stephen finit par céder, et dans un dernier coup dans lequel je me sens perforée, il jouit.
    
    Quelques secondes passent, je ne bouge plus. Stephen s’enlève délicatement de ma chatte. Il nous faut bien 3 minutes pour comprendre ce qui vient de se passer. Les deux garçons me regardent, me sourient tout en se rhabillant. Ils s’en vont assez vite, dépassés par la fureur de l’instant, me laissant seule dans ma chambre.
    
    N’importe quelle femme honnête aurait mis ces deux hommes à la porte. Je ne l’ai pas fait : suis-je une femme honnête ? En tout cas, je ne suis plus une femme fidèle. Et si je suis honnête avec moi-même, je ne regrette pas ce qui vient de se passer. J’ai même un petit goût d’inachevé.
    
    Je prends une douche après la visite de mes collègues et maintenant j’ai faim ! Mais il est vingt-deux heures trente passées ; c’est trop tard pour sortir dîner. Le restaurant de l’hôtel est peut-être encore ouvert. Le temps d’enfiler des sous-vêtements, une jupe et un tee-shirt et je descends.
    
    Le restaurant est fermé, mais gentiment le réceptionniste m’envoie vers le bar où le serveur pourra me faire des sandwichs. À mon deuxième sandwich, je commence ...
    ... à regarder autour de moi. Pas foule ! Quelques hommes et femmes, pas très jeunes. Soudain mon regard se porte sur une table de deux hommes sirotant des cocktails. Je mets quelques instants à reconnaître Enzo et Juan en pleine conversation. Au même instant ils me voient et m’invitent d’un signe de la main à venir les rejoindre à leur table. Après ce qui vient de se passer avec Stephen et Dieter je me sens un peu gênée : ont-ils eu le temps de parler avec eux, de leur raconter comment ils m’ont possédée tout à l’heure ?
    
    Au bout de quelques secondes, je suis rassurée : ils ne sont au courant de rien. La conversation va bon train ; nous passons un bon moment à parler et à rigoler. Malheureusement, le bar ferme et nous devons regagner nos chambres. Juan et Enzo, tout à leur délire, décident de négocier avec le barman afin de pouvoir remonter trois verres à vin avec la bouteille de rouge à peine entamée dans leur chambre. Le barman les leur donne avec joie et leur souhaite une bonne fin de soirée, avec un clin d’œil équivoque.
    
    Les garçons décident que, pour une fois, nous finirons la soirée dans l’une de leurs chambres. Je les suis avec un peu d’appréhension. Je suis toujours excitée par ce qui s’est produit tout à l’heure, et je ne sais pas de quoi je serai capable s’ils jouent avec moi.
    
    Nous sommes installés dans la chambre d’Enzo. Nous avons repris le cours de notre conversation ; l’humeur est toujours joyeuse et, suite à un éclat de rire, je renverse mon verre de vin ...
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