1. Valérie, parisienne et libertine


    Datte: 12/12/2021, Catégories: ff, fsoumise, fdomine, Oral lesbos, dominatio, Auteur: Divinmarkiz, Source: Revebebe

    ... atelier. En nous quittant, au milieu des autres invités, je l’embrassais en lui chuchotant que parmi mes créations je pourrais aussi lui présenter des bijoux intimes. Lorsque nous nous détachâmes, je vis son regard qui se voulait choqué. « À très vite ; j’ai hâte de découvrir toutes vos créations », lâcha-t-elle malgré tout.
    
    Justine m’appela dès le lendemain matin et vint le jour même prendre un café.
    
    C’était l’été, et lorsque j’ouvris ma porte, elle se présenta avec une robe chemisier colorée, un peu courte, dont le col était ouvert plus que nécessaire.
    
    Je la laissai au salon pour préparer les cafés ; lorsque je revins, elle se tenait debout le dos tourné, son regard sur les toits de la ville qu’elle découvrait depuis la porte-fenêtre ; le soleil l’entourait et je pouvais voir les courbures de son corps que la lumière découpait à travers le fin tissu.
    
    Cherchait-elle à me provoquer ? Si tel était le cas, je n’allais surement pas tomber dans ce piège… il fallait qu’elle sache à cet instant qui dominerait.
    
    Assises, nous bavardions, je lui montrais mes plus jolies créations, ses yeux brillaient ; comme beaucoup d’entre nous, elle aimait les bijoux. Après avoir vu, touché et essayé colliers, bracelets et bagues, il y eut un léger silence que je ne rompis pas, gardant un regard insistant sur le sien.
    
    Elle bredouilla enfin :
    
    — Tu m’as parlé de bijoux intimes hier, je suis intriguée : qu’est-ce ?
    
    Posé sur la table basse se trouvait un écrin que je lui ...
    ... tendis.
    
    — Ouvre-le !
    
    Justine s’exécuta et j’avais savouré ce moment où, le visage empourpré, elle découvrit ce plug de métal doré, poli, serti d’une pierre de couleur.
    
    C’était un test, soit elle refermait l’écrin et se retirait poliment, soit elle restait ; sans jouer gros, je reconnais que je la provoquai à dessein. Inutile de perdre trop de temps !
    
    Elle ne partit pas !
    
    — Tu te sers de cet objet ? demanda-t-elle
    — Oui, régulièrement, pourquoi ?
    — Je voulais dire : tu t’en sers pour toi ?
    — Un peu pour moi, beaucoup pour les autres ?
    — Tu t’en sers avec tes amants ?
    — Non, avec mes amantes !
    
    Ce faisant, je posai ma main à l’intérieur de son genou sur lequel j’imprimai une légère pression pour l’inviter à écarter les jambes, elle ne résista pas. Nous ne prononçâmes aucun mot, je retirai ma main et lorsqu’elle commença à refermer les jambes, je pris une voix sèche.
    
    — Tu restes comme ça !
    
    Elle obéit, baissa la tête, mais je pus voir ses yeux devenir humides.
    
    — Maintenant, tu écartes complètement tes cuisses !
    
    J’appréciais ce moment ; Justine prit cette pose inhabituelle qu’aucune femme ne lui avait sans doute jamais imposée.
    
    — Maintenant, relève ta robe et déboutonne-la !
    
    Ses gestes étaient lents, un peu hésitants, mais elle les fit. Je pouvais voir ses seins un peu lourds comme je les aime ; elle portait une culotte blanche et sage.
    
    — Écarte ta culotte et mets tes doigts dans ta chatte.
    — Je ne peux pas faire ça Valérie, je ne peux pas.
    — ...