1. Valérie, parisienne et libertine


    Datte: 12/12/2021, Catégories: ff, fsoumise, fdomine, Oral lesbos, dominatio, Auteur: Divinmarkiz, Source: Revebebe

    Crise sanitaire oblige, j’étais comme nous toutes, enfermée dans cette routine entêtante : télétravail, repas, dodo !
    
    Créatrice de bijoux, mes crayons, feutres, et dessins comme les réunions « zoom » rythmaient mes journées dans le confort de mon appartement parisien. Mes nuits, elles, l’étaient peu (rythmées) !
    
    Célibataire, femme bi et libertine, cela faisait quatre mois que ma vie sexuelle était en pause !
    
    J’oublie de me présenter ! Je m’appelle Valérie, 54 ans, encore appétissante (je pense). Je mesure 1,72 m et suis un peu ronde, mes seins sont de bonne taille, et pour conclure, je suis brune au teint mat… souvenir d’origines ibériques (pilosité comprise) !
    
    Élevée à Paris dans une famille classique, je ne me suis jamais mariée. Après avoir fréquenté un collège de jeunes filles, j’ai étudié dans une école d’art où je me suis spécialisée dans le design. Après une assez longue carrière chez de grands couturiers à créer des bijoux, il y a dix ans, j’ai monté mon cabinet. J’apprécie cette indépendance et, sans être devenue une nouvelle Loulou de la Falaise, je réussis bien, ce qui me donne un certain confort et beaucoup de satisfaction.
    
    Le sexe a toujours tenu une place importante dans ma vie, avec les hommes, bien sûr, mais j’aime aussi le corps des femmes et mes aventures saphiques sont nombreuses.
    
    Elles ont débuté au collège où dès l’adolescence, je m’enhardissais à attirer des filles dans mes filets ; période de baisers volés et caresses intimes dans ...
    ... les toilettes. C’est à 16 ans que j’ai prodigué mon premier cunni, elle s’appelait Aline et avait le même âge que moi. Il m’avait fallu une belle dose de persuasion pour l’amener là ! Aline, élevée dans une famille de cinq enfants, était profondément délurée et espiègle, mais tout cela était enfoui sous son éducation stricte qui lui interdisait à son âge toute sexualité.
    
    Nous étions amies et ses regards empreints de désir ne m’avaient pas échappé. Je me souviens de ce fameux jour où nous nous étions retrouvées dans les toilettes, et sous le prétexte qu’il n’y avait pas de papier, je lui avais demandé de m’en apporter. J’avais ingénument ouvert la porte, et lorsqu’elle la poussa, je me tenais assise, les cuisses écartées plus que nécessaire. Je saisis le papier qu’elle me tendit et m’essuyai avec une certaine langueur en tenant mes lèvres ouvertes. C’est en observant son regard que je sus que c’était le bon moment. Je me levai et fermai la porte puis, encore déculottée, lui donnai un baiser fougueux et maladroit. Je la sentis fondre instantanément, se coller à moi. C’est moi qui pris les devants en glissant ma main sous sa jupe ; il lui fallut un certain temps pour me rendre mes caresses, mais une fois ces jeux de mains entamés, elle se laissa aller.
    
    Je me souviens qu’elle avait protesté, mollement, lorsque je m’agenouillai et que je collai ma bouche sur sa vulve pour la lécher, sans doute sans grande finesse !
    
    Nous étions bien sûr allées plus loin quand Aline venait ...
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