Valérie, parisienne et libertine
Datte: 12/12/2021,
Catégories:
ff,
fsoumise,
fdomine,
Oral
lesbos,
dominatio,
Auteur: Divinmarkiz, Source: Revebebe
... dormir à la maison, ou le contraire, tout ça sous le prétexte de notre amitié ou de nos révisions.
Elle est aujourd’hui une mère de famille et une femme qui réussit très bien ; nous déjeunons ensemble régulièrement comme de vieilles amies. Même si je sens bien qu’elle aimerait céder de nouveau, son statut de femme mariée comme son environnement social agissent cependant comme un frein, puissant.
Ainsi, déjà adolescente, je conduisais ma vie sentimentale comme je l’entendais. Cette liberté presque masculine était évidemment diversement appréciée et je trainais une réputation un peu sulfureuse au collège comme parmi mes amis. Je m’en moquais ! Bonne élève, mes parents bienveillants et finalement assez ouverts faisaient taire ces rumeurs.
Seule la sœur Thérèse, principale du collège, m’avait un jour sermonnée ; c’était une femme intelligente qui même dans son rôle dont elle ne se sortait jamais, savait employer les bons mots. « Prends toujours soin de toi et sois prudente. Les sens peuvent parfois t’emmener là où tu ne voudrais pas aller. Songes-y, si tu dois les suivre, n’oublie jamais de rester clairvoyante ». Je me souviendrai toujours de cette phrase.
Soumise avec les hommes, je préfère dominer les femmes, encore qu’avec la bonne partenaire je me laisse parfois aller à partager les rôles.
C’est à l’âge de 35 ans que j’ai voulu assouvir mes envies de soumission. Si ces envies étaient très présentes, il m’avait fallu du temps pour « sauter le pas », non pas ...
... pour des raisons morales, mais simplement parce que je percevais le double danger : celui – physique – de rencontrer la mauvaise personne ; et celui – plus intime – de pressentir que ces « jeux » pourraient être sans retour.
Au début des années 2000, les sites de rencontres fleurissaient ; inscrite sur plusieurs d’entre eux, je partis à la recherche de ma première expérience de soumise.
Je me connais et savais que mon choix serait difficile ; dirigeante d’une équipe (certes petite) dans ma vie professionnelle, je devais accepter de lâcher prise, voire de m’abandonner, et pour ça il fallait un homme avec une intelligence, un savoir-faire et des « manières ». On sait toutes que ça ne court pas les rues !
J’avais à l’époque une relation sexuellement intense avec Justine, une femme de 50 ans, mariée et mère de famille. Sans vivre dans la « misère » sexuelle, Justine n’en avait pas moins de grandes frustrations. Elle avait depuis toujours le goût des femmes, mais aussi celui de la soumission comme elle me l’avoua vite.
Je la rencontrai dans un diner à Paris un soir de 2001. Justine, grande femme un peu ronde, avait ce regard timide et gourmand que je connaissais si bien : celui d’une femme que je pourrais emmener vers d’autres horizons.
Nous avions longuement échangé ce soir-là sur nos vies, elle aimait les bijoux, un sujet sur lequel je pouvais être intarissable ; de fil en aiguille, nous échangeâmes nos téléphones avec la promesse qu’elle viendrait visiter mon ...