1. J'allume le boucher et son fils (2)


    Datte: 10/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Galaxie55, Source: Xstory

    ... de la journée.
    
    — Alors, je vous ai manquée hier ? Questionnai-je, d’un air enjôleur.
    
    Je retourne l’écriteau doucement, le plaçant sur fermé, en lâchant la porte derrière moi. Je fais tomber négligemment mon blouson sur le sol. Je me retourne lentement enclenchant soigneusement le verrou en galbant les fesses au maximum.
    
    — Ce n’est rien de le dire ! Qu’est ce que je vous sers aujourd’hui ? Enumera le boucher, pour se donner une contenance.
    
    — Aujourd’hui ! Heu… rien ! Enfin rien de payant ! Guillaume ? Sommé-je, en le foudroyant du regard.
    
    — Ou... oui, balbutia-t-il, détournant les yeux de mon regard.
    
    — Je t’avais dit que je reviendrais pour te faire craquer mon lapin.
    
    — Oui… tu me l’avais promis, murmura-t-il, en regardant ces chaussures.
    
    — Alors, tu vas me le dire sagement ? Dis-je, un poil déçue.
    
    — Non… Ça ne sert à rien de le dire de toute façon.
    
    — Et pourquoi ça ? Lancé-je en passant derrière le comptoir poussant la petite porte, en faisant attention à bien creuser les épaules, pour dévoiler le maximum que mon décolleté peut proposer.
    
    Le père, effacé, s’est assis au fond de la pièce, bras croisés, jambes écartées. Ses yeux avides dévorent la moindre partie de ma peau, que le tissu de ma robe laisse apparaître par intermittence. Je me dirige vers le jeune étalon, jouant avec mes anglaises entre mes seins.
    
    — Tu veux les raisons ? Contra t-il, sa vision attiré par les spirales de mes pointes bouclées, égalant le pendentif qu’un collier ...
    ... invisible soutiendrait.
    
    — Je suis toute ouïe ! Chuchoté-je, m’agrippant à son coup.
    
    — Tout simplement, elle est inaccessible...
    
    — Tu sais, toi aussi tu peux paraître inaccessible pour elle ! M’exclamé-je faisant danser ces mèches en tire-bouchon ensorceleuses.
    
    Le père commence à masser sans gêne ses parties à travers son pantalon, en me fixant intensément. Mon spectacle à l’air de lui plaire. Je me rapproche à un demi mètre de lui, soulève délicatement ma robe jusqu’aux jarretelles tenant les bas. Puis, je me dandine légèrement en me retournant pour laisser paraître par intermittence ma nudité. Le fils, visiblement excité, ne perd pas une miette de ce spectacle. Il essaie de cacher son désarroi derrière sa main, en les mettant dans ses poches. Ce n’est que peine perdue, il ne peut dissimuler une bite pareille !
    
    — Gamin tu crois que cette femme paraît innaccesible ? Regarde moi profiter de son corps ! Proféra-t-il, avant de me mettre une bonne fessée.
    
    Le claquement résonne fort contre les murs en carrelage blanc de la pièce. La surprise de cette main ferme, qui, après m’avoir asséné un coup, me caresse le derme endolori, déclenche en moi une bourrasque de plaisir se canalisant dans mon antre. Je tortille les fesses et me penche en avant pour en redemander. Je pointe du doigt Guillaume en lui suggèrant de se rapprocher de la scène. Il ne se fait pas prier, happé par l’envie que je lui suscite.
    
    — Pourquoi me le caches-tu à la fin ? Elle est mariée ? Elle a ...
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