J'allume le boucher et son fils (2)
Datte: 10/12/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Galaxie55, Source: Xstory
... refuser son cadeau. Dans la voiture, voulant tester mon pouvoir de séduction, je me laisse aller à écarter les cuisses doucement. Sa respiration s’accélère et d’un regard en coin, il observe ma jupe se relever. Satisfaite du résultat, mon envie naissante croît.
Nous arrivons enfin, il m’accompagne jusqu’à la salle afin d’évacuer les boissons. Je rentre dans son bureau exigu, trouvant l’alcoolique vautré sur sa chaise, une bouteille de whisky à moitié vide dans les mains.
— Je n’ai pas trop le temps chef, faisons vite.
— Tu n’as pas trop le temps d’aller où comme ça petite traînée ? Allez à quatre pattes que je te baise ! Exige t-il d’un ton sévère.
— Sérieux, je t’ai dit que j’avais pas le temps.
— Ça tombe bien je n’ai pas le temps non plus !
— Je ne veux pas !
— Quoi ? Tu veux jouer les saintes nitouches après t’être fait baiser comme une putain hier. En plus, vu comme t’es fringuée tu ne cherches que ça, crie t-il, en se rapprochant de moi.
— J’ai dit non…
Il me plaque sans douceur contre le mur, son monstre entre mes fesses, ses mains parcourant tout mon corps. Il me tord le sein et de l’autre main, il soulève ma robe pour plonger ses paluches crasseuses sur mon intimité.
— En plus, tu as pas de culotte et ta chatte est toute épilée. Je vais me régaler !
— S’il-te-pl… suppliais-je, brisée par une voix tranchante.
— Ta gueule la pute ou tu vas manger ma main ! M’intimide-t-il, me montrant du doigt.
— Arrête, je t’en prie… ...
... m’égosillé-je, interrompue par un grand fracas.
— Lâche la tout de suite gros pervers, sinon je te démonte ! Ordonne sèchement Franck.
Il stoppe net et me libère de son emprise. Je m’enfuis loin de ce lieu, suivie bientôt par mon sauveur.
— Il a compris et ne t’embêtera plus.
— Merci mille fois ! Tu es arrivé juste à temps !
- Je t’en prie, j’ai eu la chance de pouvoir intervenir et je suis heureux de l’avoir fait !
Ces paroles victorieuses m’ont bien détendue. Une fois de plus, il a su trouver les mots pour m’apaiser.
— Peux- tu me raccompagner chez moi, s’il-te-plaît? Dis-je, en entrant dans la voiture.
— Ok princesse, en route.
Sur la route, je contemple mon beau et valeureux prince. Ses veines ressortent de ses bras agrippant fermement le volant. Son membre est tout gonflé et il a l’air encore énervé. Je veux le détendre un peu et commence à glisser mes mains sur son pantalon de jogging. Il soupire de plaisir,
— Arrête ! je ne veux pas profiter de la situation ! Me commanda-t-il.
N’écoutant que mes envies, sans prêter attention à sa remarque, je passe ma main dans son pantalon, et pratique un va et vient régulier sur son pénis, abondamment irrigué. Je me rapproche et lui chuchote à l’oreille.
— Tu me donnes tout depuis des années, sans rien attendre en retour. Encore aujourd’hui, tu me l’as prouvé. Tu es particulièrement frustré depuis que tu m’as vue dans cette tenue, ce n’est pas grand chose que je t’offre. J’ai très envie de goûter ce que je ...