1. S'il vous plaît Maître (4)


    Datte: 10/12/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Thrùd, Source: Xstory

    ... minimum afin qu’elle profite d’un peu de douceur après tant de violence et vous êtes revenu vers moi. Votre main a enserré ma gorge alors que mon dos reposait contre vos jambes. Votre bouche est venue couvrir mes épaules de petites morsures comme si vous cherchiez à échauffer mes sens. Mes paumes me brûlaient et mes épaules réagissaient à la moindre caresse. Mais mon calvaire ne faisait que commencer. Vous avez ouvert votre chemise avant de retourner sur votre fauteuil. Et à votre regard j’ai su. Je me suis approché à quatre pattes et je suis venue vous contenter de ma langue. J’ai laissé ma bouche courir le long de votre torse, léchant et aspirant vos tétons pour votre plus grand plaisir. Vous avez reprit la dégustation de votre thé, profitant de ma langue comme on le ferrai d’un biscuit savoureux.
    
    Vous avez empoigné ma tête pour contrôler le rythme de mes sucions. Et vous êtes resté là, à profiter jusqu’à ce que votre tasse soit vide. D’un simple ordre j’ai su que je devais vous faire jouir car votre détente venait de prendre fin. Alors, je me suis appliqué à vous contenter de ma langue jusqu’à vous arracher un cri d’extase. Vous m’avez fait reculer en me tenant toujours par les cheveux et vous m’avez renvoyé m’agenouiller au milieu du salon. Vous vous êtes saisi d’une barre d’écartement que vous avez placé dans mon dos et vous y avez liées mes mains. A l’aide de chaînes, vous avez relié mes genoux aux extrémités de la barre, vous assurant ainsi de mon incapacité à ...
    ... bouger. Vous avez embrassé mon oreille et approché le mord de ma bouche, avant de me glisser un mot d’une voix dénuée d’émotions “mord fort, tu vas en avoir besoin”.
    
    Je me suis saisi du mord et j’ai bloqué ma mâchoire autour de ce dernier en imaginant le pire. Vous vous êtes placé face à moi et vous avez commencé à me caresser la poitrine, doucement, presque amoureusement. Et sans prévenir, vos caresses se sont soudainement transformées en griffures, en pincement. Je n’ai pu m’empêcher de gémir. Oh Maître, sous vos mains, plaisir et douleur ne font qu’un. Vous avez commencé à pincer et tirer mes tétons, à les rendre très sensibles avant de vous saisir des pinces vibrantes et de mes les appliquer sans ménagement. Leur pincement me fit rouler des yeux et je vous ai vu sourire. Vos mains ont continué à me caresser, allant toujours plus bas, toujours plus vers mon entrejambe. Et lorsque vos doigts ont enfin atteint mes lèvres, ce n’est pas humide que vous m’avez trouvé mais bien trempé. Votre doigt s’était enfoncé en moi avec une étonnante simplicité qui a élargi votre sourire. Un autre l’avait presque aussitôt rejoint, tout aussi facilement, ce qui m’arracha un hoquet de plaisir.
    
    Après quelques va-et-vient qui ne servaient qu’à évaluer mon état, vous avez retiré vos doigts pour les porter à votre bouche. Oh Maître, je ne pourrais jamais oublier votre regard lorsque vous me goûtez. Vous avez remplacé vos doigts par un œuf vibrant avant de vous éloigner pour profiter du tableau. ...
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