S'il vous plaît Maître (4)
Datte: 10/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Thrùd, Source: Xstory
... briser.
Une fois le collier et les menottes en place sur son corps, je ne supportais plus de la voir vous regarder alors j’ai bandé ses yeux et liés ses mains dans son dos. Elle était à ma merci et à sa respiration rapide je me doutais que cela ne lui déplaisait pas. Mais que faire ? Je n’ai pas l’habitude de me retrouver dans cette position. Je vous regardais pour obtenir des conseils, une approbation ou au moins un ordre de votre part mais vous ne disiez rien. Vous vous êtes contenté de regarder. Alors, je vous ai copié. Après tout, il ne devait pas être bien compliqué de faire jouir une femme. Il suffisait juste de savoir où appuyer.
Je me suis saisi de la cravache, celle que je déteste car je ne supporte pas sa douleur. Je voulais commencer par la punir d’être aussi désirable, par remplacer toutes ses sensations par de la douleur pour qu’elle réagisse à la moindre sensation de plaisir. Mais au bout de trois coups faibles je me suis rendu compte que je n’aimais ni recevoir ni manier une cravache. Je trouvais cet objet bien trop vulgaire, bien trop connoté. Je voulais toujours surcharger ses sensations mais j’avais à ma disposition biens d’autres moyens, à commencer par la privation de sens. Elle ne voyait ni ne pouvait toucher mais elle pouvait toujours entendre. Alors je me suis saisi d’un casque afin de continuer de l’isoler. Au bout de quelques secondes d’attente, perdue dans le noir et le silence, elle commençait à réagir au moindre frôlement.
Je laissais mes ...
... doigts parcourir ses épaules et son torse, frôler sa poitrine et griffer son dos pendant qu’une bougie chauffait sur la table. Pendant de longues minutes, je réveillais ses sensations, mettais ses nerfs à vif. Elle gémissait, se languissait, aimait ce que je lui faisais. Mais Maître, vous et moi savions ce qui allait se passer, ce qui allait lui arriver. Je vous regardais par moment, cherchant votre approbation et je ne pouvais voir que du contentement sur votre visage. La bougie avait fini de chauffer et la cire était prête. J’avais choisi de commencer par une bougie à la cire noire pour contraster sa peau blanche et de recouvrir intégralement ses épaules. La première goutte lui arracha un cri de surprise et coula le long de son omoplate droit. La deuxième la fit gémir et coula sur son sein gauche.
Je me mis à alterner entre goutte de cire et baiser, entre plaisir et douleur, couvrant ses épaules de ma bouche entre chaque brûlure. Elle gémissait et tressaillait à chaque fois. Sa respiration s’accélérait et ses cris n’étaient plus dissociables. Je changeais sans cesse de côté, d’action et de rythme, l’empêchant de s’habituer à mes assauts. Je dois vous l’avouer Maître, à ce moment, je vous ai oublié, je ne vous voyais plus, ne vous entendais plus. J’étais concentré sur elle, sur ses réactions, sa voix. Ses épaules et son dos étaient déjà bien tâchés de cire noire et je lui ai laissé quelques minutes pour respirer et reprendre ses esprits. Et pour moi le temps de me saisir ...