S'il vous plaît Maître (4)
Datte: 10/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Thrùd, Source: Xstory
Ce jour-là Maître, vous portiez votre plus beau costume trois pièces noir et votre chemise l’était tout autant. A dire vrai, il ne se passe guère plus de séance sans que je ne vous vois dans ces habits. Toujours tiré à quatre épingles, sévère et dur. Peut-être n’aurais-je pas dû vous révélé cette faiblesse, mais comment vous résister quand je vous vois en chemise et veston ? Ce que j’aime encore plus c’est quand vous prenez le temps de retirer votre veste, de la plier et de la ranger, car alors je sais, que la séance commence réellement. Et pourtant, ce jour-là, vous l’avez gardé sur vous. Vous ne vous êtes pas dévêtu.
Ce jour-là, Maître vous portiez aussi votre cravate rouge et des boutons de manchette assortis. Lorsque vous prenez le temps de rajouter ses accessoires, c’est que la séance promet d’être éprouvante pour moi. Vous étiez assis dans votre fauteuil, un thé posé sur la table à votre droite. Je me tenais à vos pieds vêtue d’un corset et d’une jupe en cuir noir. Je portais un porte-jarretelle, des bas, vos escarpins préféré et un rouge à lèvre rouge assortis à votre cravate. D’une main vous jouiez avec ma laisse de chaîne pendant que de l’autre vous mélangiez votre thé. Vous sembliez attendre quelque chose perdu dans vos pensées, mais je ne savais pas quoi.
La sonnette retentit et votre sourire s’est élargi. Vous m’avez ordonné d’aller ouvrir la porte. Et je crois que je vous ai maudit au moment où mes yeux se sont posés sur elle. Vous nous savez amie, ...
... vous la savez soumise et vous savez que je connais ses préférences. Mais Maître, vous m’en savez aussi incapable. Comment pourrais-je faire ce que vous attendez de moi alors que j’ignore comment contenter une femme ? Je l’ai fait entrer et l’ai menée jusqu’au salon où j’ai cherché votre regard, chercher une explication, un ordre. Vous vous êtes contenté de la saluer chaleureusement, vous l’avez aidé à se mettre à l’aise alors que je restais à vos pieds sans réponse. Elle ne portait qu’une fine robe qui laissait apercevoir la beauté de ses courbes.
Oh Maître, lorsque je vous ai vu porter votre regard sur son corps, j’ai voulu la détruire. Le désir que je voyais dans votre regard me rendait jalouse. J’aurais voulu la réduire à néant, vous montrer par n’importe quel moyen que je valais mieux qu’elle. Et lorsque votre premier ordre est tombé, j’ai compris que c’est exactement ce que vous attendiez de moi. Vous vous êtes contenté de vous réinstaller dans votre fauteuil et d’attraper votre tasse de thé puis de me sourire. Et pour ce sourire, je ferai n’importe quoi. J’ai attrapé cette femme par les cheveux et lui ai ordonné de s’agenouiller. Je lui ai retiré sa robe, la mettant nu devant vous. J’ai attrapé un collier, assorti aux menottes que vous aviez disposées sur la table. Je les pensais pour moi bien que ce ne soit pas mon collier. Je pensais que toute cette préparation m’était destinée. Et savoir que vous aviez tout préparé pour une autre finit de me donner envie de la ...