La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1548)
Datte: 09/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... restâmes ainsi, l’un à côté de l’autre, à nous regarder, sans parler mais en bandant terriblement par cette attirance et ce manque de sexe à ne pas pouvoir vider nos couilles… Le langage de nos corps serviles et chauds me suffisait !
Alors que je dormais, couché près d’esclav'antoine, quasiment lové contre lui, j’étais brutalement réveillé par une main se saisissant de mon collier. Sans rien comprendre, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, j’étais sorti manu militari de cette cage de verre et emmené par la cuisinière dans le bureau du Maître, sous les insultes de Madame Marie et sous ses vifs coups de cravache sur mon fessier. Monsieur le Marquis était confortablement installé dans un fauteuil et feuilletait un manuscrit ancien. Il levait quelque peu les yeux lorsqu’il me vit arriver.
- Reste à quatre pattes, Mon chien, tout près de l’âtre de cette cheminée, m’ordonnait-il.
Le Noble se levait, sans un mot, venait flatter ma croupe, caresser mon anus, ce qui eut pour effet de me faire bander sur le champ.
- Voilà huit jours que tu es enfermé, Mon chien, huit jours qui ont permis à mon ami Pierre, un éminent anthropologue, d’étudier, d’analyser, de scruter ton comportement, tes agissements, tes actes, ton caractère, tes aptitudes à l’obéissance alors que tu étais dans le dénuement et l’enfermement total, parfois dans la détresse, dans le manque. Analyser aussi tes réactions avec un autre de tes congénères. Ainsi, avec ses analyses, ses études, il a pu ...
... terminer ses travaux anatomiques, biologiques, morphologiques, physiologique. Des travaux en deux temps, d’abord sur les comportements propres et individuels, ensuite il a étudié les comportements sociologiques avec la présence d’un autre de Mes esclaves. A ce propos, Pierre m’a fait part de tes pulsions sexuelles à l’égard de cette salope qu’est esclav’antoine… A-t’il bien analyser les choses ?, répond-Moi, bâtard.
- Oui Maître, c’est tout à fait exact, Maitre, répondais-je tête basse.
Sur ces entrefaites, Madame Marie frappait et entrait dans le bureau du Noble, accompagnée d’esclav’antoine tenu en laisse et marchant en quadrupédie derrière elle.
- Je vais vous ôter ces gants, chiennes que vous êtes, vous allez abimer cette belle moquette.
Enfin les mains libres, enfin, j’allais pouvoir me toucher, me caresser… Mais pour l’heure, c’était la langue d’esclav’antoine qui caressait mon anus. Une langue baveuse, cherchant à s’introduire, cherchant à s’immiscer en moi le plus loin possible, alors que Madame Marie lui poussait la nuque contre mon cul. Je bandais terriblement et geignais abominablement. Puis, ce fut à mon tour de lui lécher le cul, de lui bouffer et dévorer sa chatte de mâle, avec une avidité sans nom, avec gloutonnerie et convoitise. J’aimais ces odeurs de cul, la moiteur de cette intimité, le velouté de sa corolle humide et chaude. A cet instant, Monsieur le Marquis attrapait ma nouille raide, me la branlait doucement, délicatement et l’entrainait vers ...