La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1548)
Datte: 09/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... n’avais pas bougé d’un iota. Le jeune étudiant enfonçait alors sa grosse queue par le trou et me sodomisa sans peine. Il se démenait avec force pour m’enculer promptement à grands coups de reins faisant un peu trembler la structure vitrée, tandis que la jeune étudiante se remettait à sucer le deuxième étudiant. La sodomie assez bestiale avait duré environ cinq bonnes minutes, où je me sentais être juste un trou, un objet, un simple vide-couilles exhibé alors que je m’efforçais à garder mes fesses plaquées le plus possible contre la vitre afin de faciliter cette saillie animale. Quand, dans un dernier coup de boutoir, le jeune homme lâchait des flots de spermes en mon cul dilaté… Ensuite, le deuxième prenait sa place sans attendre et ce fut le même traitement. Je n’étais plus qu’un trou béant, un réceptacle à foutre, juste un orifice à donner du plaisir. Quand le deuxième étudiant se vidait en mon fondement, je vis dans le reflet de la vitre que les autres personnes présentes commentaient la scène, où plutôt les scènes, puisque l’homme à la blouse blanche était en train de baiser l’étudiante debout et par derrière, contre la paroi de ma cage vitrée…
Quelle fut ma surprise lorsqu’un autre jour je vis arriver de nouveau l’homme à la blouse blanche, mais cette fois-ci avec un jeune homme d’environ mon âge, grand, mince et musclé, tout nu lui aussi, avec un collier autour du cou, et les mêmes gants que ceux que je portais depuis mon arrivée ici. Lui aussi était tatoué, au ...
... même endroit que moi… Je pouvais lire "esclav’antoine propriété du Marquis d’Evans". Sous les coups d’une cravache striant son cul, il grimpait dans cette cage et me rejoignait. Je fulminais… Ce bocal était déjà très étroit pour moi seul, alors à deux… mais sans rien comprendre, je me mettais à bander comme un cerf en rut, lorsqu’un pied d’esclav’antoine frôlait mon corps alors qu’il cherchait à s’assoir en tailleur. Nul doute, ma libido se réveillait soudainement.
- Attention les deux salopes, interdiction de vous donner du plaisir, encore moins de vous enculer ! Je vous surveille…, nous disait menaçant, l’homme à la blouse blanche dans le micro, avant de nous laisser une nouvelle fois
Antoine et moi, étions dans le même état… tous les deux, dès que nos corps s’effleuraient involontairement, nous nous mettions à bander… à bander furieusement ! Était-ce le manque de sexe ? Y avait-il autre chose entre nous ? Antoine m’attirait, à chaque fois que je le regardais, je sentais papillonner mon ventre... Mon entrejambe était en émoi… mes tétons et ma queue s’érigeaient malgré moi. Lui aussi était dur, sa queue pointait régulièrement entre ses jambes, son gland laissait paraitre régulièrement un filet translucide… Dans ce cas de figure, la perversité, le sadisme consistaient à nous avoir enlevé nos cages de chasteté, nous avoir équipé de gants piquants et de nous laisser bander comme des taureaux sans pouvoir se soulager… Pendant des heures, peut-être des jours encore, nous ...