La Saga des esclaves au Château du Marquis d’Evans (épisode N°1548)
Datte: 09/12/2021,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
Alexsoumis au Château (Histoire écrite par alexsoumis & texte amélioré par MDE) – Suite de l'épisode précédent N°1547) -
Chapitre 16 bis : Etude anthropologique –
- Assieds-toi salope, colle et ventouse bien ton trou du cul sur le sol verré, en écartant tes fesses ! …
L’homme qui venait de me donner cet ordre, n’était autre que celui portant une blouse blanche. Il avait appuyé sur le bouton d’un micro qu’il portait au col de sa blouse, micro relié à une enceinte Bluetooth posée sur le haut de la cage. J’étais effaré, consterné totalement ébahi, jusqu’où allais-je devoir me corrompre, me dépraver. Je les voyais tous les quatre, sous moi, en train d’examiner l’intérieur de mon cul, je les voyais parler, mais je n’entendais toujours rien de leurs échanges. L’outrage n’était pas encore fini, il me fallait maintenant m’assoir sur le sceau et pisser devant eux… Impossible d’uriner, jamais je n’avais fait ça en public. Après cinq bonnes minutes, je pissotais seulement quelques gouttes, l’homme en blanc semblait se satisfaire du résultat. « Ouf ! » pensais-je… à tort ! Il voulait me voir maintenant déféquer, là devant eux… l’Ignominie était à son comble… je me maudissais, me détestais, j’étais à l’agonie. Toutes ces abominations me réduisaient à néant, je n’étais plus rien… plus qu’un être vivant, l’offense et l’outrage, l’humiliation et l’affront… et pourtant j’obéissais en me vautrant dans la déliquescence en m’effondrant dans les abimes les plus ignobles… bref, j’étais ...
... dans le délabrement total… Seule une partie de mon corps réagissait encore : ma nouille ! Elle s’enflammait pour un oui, pour un non, sans raison, comme si elle se satisfaisait de cette désolation.
Depuis combien de jours, de nuits étais-je là ? La lumière restait en permanence éclairée, je ne pouvais savoir s’il faisait nuit ou jour… J’avais perdu toute notion du temps, tournais en rond dans cette cage trop étroite, à en devenir dingue, ne voyant personne, hormis cet homme qui me nourrissait de bouillies infâmes, qui me toilettait sommairement, qui m’examinait longuement derrière ces vitres…
Le lendemain, l’homme revenait, toujours avec les trois mêmes étudiants. Il m’exigeait, dans le micro, de plaquer mes fesses contre la paroi latérale du côté gauche où il y avait juste un trou dans la vitre d’un diamètre autorisant juste le passage d’une verge. Il m’ordonnait ensuite de me pencher en avant et de m’écarter les fesses afin de bien exhiber mon trou du cul plaqué, collé, ventousé contre le trou de la vitre. Ensuite, je pouvais voir dans le reflet de la vitre face à moi, ce qui se passait derrière moi. L’étudiante se mettait accroupie et défaisait les ceintures de deux autres étudiants, sous l’œil attentif de l’homme en blouse blanche. Elle sortait les deux verges qu’elle prenait en bouche pour les faire bander. Une fois que les deux jeunes hommes étaient en forte érection, elle se relevait et approchait la verge, qu’elle avait en main, près du trou vitré alors que moi je ...