Le projet artistique (55)
Datte: 07/12/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Yojik, Source: Xstory
... imparfaites. Leur petit jeu était clair, je décidai de jouer avec elles. Au rendez-vous suivant, j’arrivai, avec François et Bertrand, habillés en survêtements puisque nous avions entraînement ensuite. Mais nous portions ce jour-là des t-shirts un peu serrés qui mettaient en valeur nos muscles de jeunes sportifs. Les trois femmes de la préfecture en furent toutes émoustillées. La Brigitte brune jeta à peine un œil à mes documents, elle les valida alors qu’elle se mordillait les lèvres. Elle avait abandonné toute pudeur pour me mater l’entrejambe.
Après l’entraînement, Bertrand m’en fit la remarque :
— Ton gros machin pourrait bien t’être utile.
— Bébert, je ne vais pas me taper la vieille pour faire venir Elisa !
— J’ai pas dit ça. Mais la prochaine fois : pantalon léger qui te moule le paquet. Elles vont plus se sentir.
— Et puis, si tu veux faire venir Elisa..., sous-entendit François. Quelques sacrifices pourraient être utiles.
Je tentai le coup la fois suivante, mes amis ne pouvaient venir alors j’avais intérêt à mettre toutes les chances de mon côté. En entrant dans leur bureau, elles cherchèrent du regard les deux autres. La Brigitte à lunettes allait se plaindre de leur absence, mais sa bouche resta ouverte sans aucun son pour en sortir. Elle avait les yeux fixés sur ma braguette. Ses collègues ne firent pas autrement que de l’imiter. Je les saluai et m’excusai de l’absence des autres. La Brigitte sans lunettes me rétorqua alors :
— Ce n’est pas ...
... grave pour cette fois. Et vous n’êtes pas venu seul à ce qu’on voit.
Elle pouffa un peu, de même que les autres Brigitte.
— Et encore, je suis sûre que son compagnon n’a pas dévoilé toutes ses qualités, dit la Brigitte à lunettes.
— Vous n’avez pas idée mesdames...
Elles soupirèrent d’émotion et posèrent négligemment une main sur leurs poitrines. Les documents et les pièces justificatives rassemblées à la va-vite furent validés sans un regard. Si je pouvais m’en contenter, ce serait un sacrifice bien maigre.
Mais quelques jours plus tard, je reçus un courrier m’annonçant que mon dossier allait passer devant une commission quelconque. Je ne voyais pas trop ce que cette commission venait faire dans ce bazar. J’appelai ma Brigitte brune et elle me dit que cette commission départementale pouvait octroyer des visas étudiants et une bourse d’études pour des cas exceptionnels. Elle avait pensé que c’était pile ce qu’il fallait dans mon cas. Je la remerciai chaleureusement. Mais elle me dit que ce n’était pas gagné, car plusieurs autres dossiers étaient présentés. Après un instant d’hésitation, elle me dit à voix basse que le mieux était que je vienne, avec mes amis, vendredi en fin de journée pour préparer un argumentaire complémentaire afin qu’elle puisse donner un coup de pouce à mon cas. En clair, elle me demandait de payer de ma personne.
J’eus quelques remords avant de me laisser convaincre par François et Bertrand. Ce n’était pas grand-chose et au pire, elles ...