1. Vacances en Mayenne (4)


    Datte: 05/12/2021, Catégories: Zoophilie, Auteur: freddy67, Source: Xstory

    ... descendit d’Élie, mais nous le retînmes pour ne pas qu’il tire de trop. Juste le fait de descendre avait déjà fait mal à Élie. Heureusement, nous n’attendîmes pas longtemps. Mimi revint avec l’autre chien en tenant quelque chose dans un torchon.
    
    — Maintenez le chien, et évitez qu’il bouge de trop.
    
    Elle s’assit au niveau de la jonction du couple anachronique puis ouvrit son torchon. Dedans, une motte de beurre. Elle en prit un morceau qu’elle enduisit à la partie légèrement sortie du sexe du chien. Puis, elle prit le sexe qu’elle utilisa comme un gode en l’enfonçant et en lui faisant quelques va-et-vient. Puis elle recommença l’opération deux ou trois fois, ce qui permit de « graisser » la jonction des deux sexes.
    
    Alors Mimi demanda à ce qu’on lâche un peu Sultan. À côté de sa maîtresse, il ne bougeait plus guère.
    
    — Heureusement dit-elle, parce que son nœud est encore un peu gros.
    
    Au bout de cinq minutes, il commença à montrer des signes d’impatience en commençant à tirer son bassin pour sortir son sexe. Mimi l’aida en écartant comme elle pouvait les lèvres vaginales. Des bruits incongrus s’entendirent de nouveau alors que du liquide saumâtre soudain jaillit. Cela libéra certainement une pression interne, car alors, le nœud de Sultan sortit, libérant enfin Élie qui s’effondra sur le sol. Le sexe de sultan en sortant était monstrueux par sa grosseur. Presque encore plus gros que celui du labrador.
    
    Je m’approchai de son visage :
    
    — Oh mon amour. Si tu ...
    ... savais. Me dit-elle.
    
    — Cette impression de remplissage qui n’en finissait pas et cette délivrance à l’instant. J’ai joui sans avoir la force de crier.
    
    Sultan qui avait fini de se lécher son sexe, vint derrière elle pour tenter de nettoyer son méfait, mais Mimi l’enleva doucement. On l’aida à se relever.
    
    — Bon allez ! Venez ! On va se manger un p’tit quelque chose avant de remettre le couvert, dit Mimi.
    
    — C’est pas de refus, répondit Élie.
    
    — En effet, j’ai un petit creux, répondis-je aussi.
    
    — Installez-vous là, sur les bottes de paille, je reviens de suite.
    
    Et comme tout à l’heure, elle partit, suivie de ses trois compagnons à quatre pattes. On s’installa comme on put avec Clémence qui réajusta sa robe alors que je restais seul nu.
    
    — Allons, les filles, il fait chaud et on est à la campagne. Enlevez-moi ça s’il vous plaît.
    
    Clémence eut quelques réticences, mais comme Elie ôtait son chemisier et sa jupe, elle se sentit obligée de faire comme nous. Elle enleva sa robe qu’elle plaça en dessous d’elle, car elle n’aimait pas le piquant de la paille. On eut l’idée d’y mettre les plaids pour que ce soit plus pratique.
    
    — Comment vas-tu ma belle, demandais-je à Élie.
    
    — Mieux. Manger me fera du bien.
    
    Elle me regarda avant de m’embrasser goulûment.
    
    — Eh bien, que me vaut cette fougue ?
    
    — Je ne veux pas que tu croies que je vais te laisser tomber maintenant que j’ai connu l’extase.
    
    — Merci pour cette précision, répondis-je « c’est vrai que j’ai eu ...
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