1. Vacances en Mayenne (4)


    Datte: 05/12/2021, Catégories: Zoophilie, Auteur: freddy67, Source: Xstory

    ... Élie étant plus petite que Mimi, il avait plus de facilité à donner ses coups de reins et perdait moins l’équilibre. Ce qui fait qu’il pouvait s’enfoncer encore plus entièrement que le labrador dans Mimi qui commençait tout juste à se relever. En entendant Élie, elle se retourna pour la voir se faire fourrager par Sultan.
    
    — Oh non, tu aurais dû attendre que je te prépare, c’est trop tard maintenant...
    
    On se demanda Clémence et moi ce qu’elle avait voulu dire. Inconsciemment, Clémence avait nettoyé sa main poisseuse sur le seul tissu qu’elle avait à porter de main, c’est-à-dire sa robe. Elle regardait toujours fascinée Ellie en train de se faire saillir et prendre son pied avec Sultan.
    
    — Ohhh. Oouuuui, aaahhh, mon Dieeuuu. Aaaahhhh...
    
    Elle sentait le sexe de Sultan fourrager le sien comme aucun homme n’avait fait. Il semblait grossir au fur et à mesure de ses intromissions comme pour épouser la forme de son vagin. Il semblait aussi que, comme le golden, il libérait sa semence translucide lui donnant cette impression de chaud à l’intérieur. Toutes ces nouvelles sensations la faisaient chavirer.
    
    — Aahhh, ouuuiiii, ouuuiiii, ouuuiii. Aaaahhhhh, je jouu, uiiis, je jouu, uiiisss...
    
    Elle avait toujours la tête relevée, les yeux fermés, grimaçant comme jamais sous la puissance de sa jouissance. Ses seins ballottaient en dessous dans son chemisier sous la cadence effrénée de Sultan. Puis elle hurla : « AAAAAAAHHHHHHHHHHHHH »
    
    Cela semblait être un cri de douleur. ...
    ... Sultan s’était arrêté de gesticuler après avoir donné un dernier coup de reins qui semblait avoir déclenché ce cri.
    
    — Ne vous inquiétez pas. Dit Mimi. Sultan vient de lui rentrer son nœud. Voici ce qui arrive quand on n’est pas préparé.
    
    Je vis une larme couler sur le visage d’Élie qui s’effondra, posant sa tête sur ses bras, ce qui ré-haussa son derrière. Alors que je voulus me lever pour aller à ses côtés voir ce qui n’allait pas, elle lâcha.
    
    — Oh p. Oh mon Dieuu. C’est encore mieuux, aaaahhhh. Ouuuiii. Il me rempliiiittt, aaahhhhh. C’est fabuu, leux, ooohhhhhhh...
    
    Le sexe du chien lui remplissait maintenant entièrement son vagin. Il semblait même toucher, immobile, l’entrée de son utérus lui procurant des spasmes de plaisirs particuliers à chaque giclée qui s’en échappait. Celles-ci étaient, ce coup-ci, perceptible et semblait plus conséquent comme si en fait le chien déchargeait sa semence, et non plus le liquide transparent, en elle et ne s’arrêtait pas. La chaleur prenait de plus en plus d’ampleur dans ses entrailles et l’impression de remplissage était de plus en plus forte par la pression exercée par le liquide.
    
    — Aaahhhhh, je jouuuiiiiiisss, je jooouuuiiiiiiissss, je jooouiiiiiissss, n’arrêtait-elle pas de répéter.
    
    — Je jooouiiiiiii. Jejouiiiiiiiisss. C’est fab, uuulleeeeuux. Oh mon diiiiieeeeeeuuuuu... ça n’arrêeeettteee paaasss... ohhhhhhhh, aahhhhhhhh, c’est trrooooooppppp. Aaaahhhhhh, je jooouuiiiiisss enncccoooooooore, aaaaaaahhhhhhh !
    
    Je n’en ...
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