Vacances en Mayenne (4)
Datte: 05/12/2021,
Catégories:
Zoophilie,
Auteur: freddy67, Source: Xstory
Clémence fit la moue quand elle nous vit entrer dans la cour. La tenant par la taille, elle ne put que nous suivre.
— Viens ! On va te présenter à la propriétaire des lieux. Dis-je.
Suite...
À ce moment apparut le berger allemand.
Il sortait de l’étable et se mit à aboyer en s’avançant vers nous. En réponse à ses aboiements, on en entendit d’autres qui lui répondaient tout aussi fort. Clémence préféra s’arrêter quand Sultan s’approcha de trop près. Pour la rassurer, je restais à côté d’elle alors qu’Élie tenta une approche. Peut-être cherchait-elle à l’amadouer pour la suite ? Quand il vit Elie s’approcher, Sultan s’arrêta, et d’avancer, et d’aboyer, faisant jouer sa truffe, reniflant l’air. Peut-être reconnut-il Elie à son odorat, car il la laissa s’approcher. Elle lui tendit la main pour qu’il la sente. Le chien alors se mit à remuer la queue et commença à tourner autour d’elle en la reniflant les pieds et les jambes. Clémence en fut rassurée et repartit avec moi vers la ferme.
Mimi apparut par une porte de la grange. Elle ne portait pas sa blouse habituelle, juste une robe. Elle fut étonnée en voyant Clémence autour de mon bras.
— Bonjour, lui dit-elle.
— Dis donc Freddo, ce serait-il que tu te sois décoincé depuis que tu es parti à la ville ?
— Oui, on peut dire ça. Clémence, je te présente Mimi. Mimi, voici Clémence.
Elles se serrèrent la main. Élie et moi lui fîmes la bise.
— Alors ma jeunette, toujours pas changé d’avis ? Demanda-t-elle ...
... à Élie.
— Non. Toujours partante.
— Alors venez, je nous ai préparé un coin avec de la paille, ça sera plus confortable.
Clémence était curieuse de la situation, mais ne pipait mot.
Sultan était à la fête. Sentant que quelque chose allait se passer, ou s’était déjà passé, il tournait autour d’Élie en lui reniflant les jambes de plus en plus haut, passant parfois son museau sous la jupe. Quand Élie le repoussait, alors il venait vers Clémence et se mettait aussi à la renifler de plus en plus haut. Sentait-il ce qui s’était passé tout à l’heure entre nous et le plaisir de ces femmes qui humectaient leurs entrejambes ? Clémence le rejetait gentiment et il retournait alors voir Élie en recommençant.
Mimi nous conduisait vers la porte la plus en retrait de l’étable d’où émanaient les autres aboiements. En entrant, on fut saisi par la fraîcheur des lieux. Du fait qu’il commençait déjà à faire chaud dehors, ici, il faisait juste bon. En nous habituant à l’obscurité due au contraste de la lumière extérieure, nous vîmes deux autres chiens attachés par une longue corde à un des poteaux de la grange.
Ils étaient visiblement jeunes, car ils sautaient et glapissaient comme pour nous souhaiter la bienvenue et que l’on vienne les délivrer. Un semblait être un labrador alors que le second semblait être un golden retriever.
— Je vous présente Ali et Baba. Ce sont les chiens de mes voisins. Ils viennent de partir en cure et me les ont laissés. Ils n’arrivaient pas à se ...