Nymphomane, moi ? Tome III (7)
Datte: 03/12/2021,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: Trixie, Source: Xstory
... Mets-toi à quatre pattes sur le lit, écarte les jambes, voilà... je vais lécher ta jolie chatte si douce...
Je me traitai de salope, car en effet ses attouchements m’excitaient. Sa tête se coula entre mes jambes, sa langue commença à lécher ma fente, pénétrant mon intimité ruisselante, ses lèvres aspirèrent mon clitoris, ses mains continuèrent leurs douces caresses sur mes deux seins. Je gémis sans discontinuer, je commençai à onduler du bassin, essayant de faciliter l’insertion de son appendice buccal au plus profond de mon vagin, sa caresse dura une éternité...
Il me fit coucher sur le lit, la tête posée sur le montant, et me présenta sa queue, elle était énorme aussi grosse et aussi longue que celle de Victor, ses couilles volumineuses. J’ouvris la bouche, il la tint de sa main droite, et la guida entre mes lèvres, sa main gauche caressa mon sein gauche, le pressant étirant mon téton. Il entra et ressortit son membre de ma cavité buccale essayant chaque fois de le faire entrer plus profondément.
Je le pris à deux mains, ma bouche s’enroula autour de la colonne de chair, mes lèvres remontèrent doucement la hampe tendue et la majeure partie disparue dans ma gorge, je renouvelai plusieurs fois l’opération avant de lui sucer et téter le gland, ce qui lui tira des grognements de satisfaction. Il me tira au bord du lit, m’écarta les jambes, me posa le pied gauche sur son épaule, sa bite s’enfonça dans ma chatte trempée, il me besogna lentement, me caressant les seins, ...
... passant sa main sous les lanières du porte-jarretelles, pinçant la peau de ma cuisse, j’écartai grandement mes jambes pour lui permettre d’enfoncer son phallus le plus loin possible. Il fixa Alfred et Victor avec un sourire amusé. Son pouce massa mon clitoris me tirant des geignements d’extase.
Mes deux compères, les pantalons sur les chevilles, se masturbèrent avec vigueur dans la cellule d’à côté. Le clochard les regarda, il me fit lever, me fit prendre appui sur les barreaux de la grille, face à eux. Il m’écarta les jambes et enfila brusquement son énorme rouleau, la brutalité de l’assaut plaqua mes seins sur les barres d’acier. Il mit sa main entre mes omoplates, et me força à rester ainsi.
Mais c’était indéniable, cette étreinte sauvage tirait du plaisir de mon corps, je haletai, poussai de petits cris de plaisir.
Mon bassin allait à l’encontre de la bite qui me pourfendait.
— Petite salope, me dit Alfred en me caressant les seins à travers les barreaux, tu vois que tu prends du plaisir ! J’en étais sûr, tu l’aimes sa bite, dis-moi que tu l’aimes...
— Ouiiiiiii, ouuuuiiii... murmurai-je... je suis une salope... une vrai nympho...
— Alors les vieux, ça vous plaît de me voir la baiser... Il y avait longtemps que je n’avais pas forniqué ainsi... putain, sa chatte est vraiment bonne à prendre, je peux y enfiler entièrement ma bite. Elle te plaît ma queue hein Salope ?
— Oui, ouuuiiiiii, continue, plus vite, plus profond !
Cela m’excita encore plus de ...