1. Nymphomane, moi ? Tome III (7)


    Datte: 03/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    J’étais en train de lire, Victor vaquait à des tâches ménagères.
    
    — Ne trouvez-vous pas que l’on s’ennuie ferme cet après-midi ? nous dit de but en blanc Alfred. Je serai bien partant pour une petite virée en ville. Une virée sexuelle. Mais cela dépend de Trixie... serais-tu d’accord ma chérie, pour en être la pièce maîtresse et te plier à nos desiderata sexuels ?
    
    La colocation était finie, Alfred maintenant, me payait une fortune pour être sa secrétaire, je bossais pour lui et j’avais pris goût à ses petits jeux plus qu’érotiques. Il pratiquait le candaulisme. Il souhaitait exhiber aux autres sa jolie compagne, on pouvait traduire cela par un sentiment de possessivité exacerbé. Voir les autres avoir envie de mon corps ou me baiser lui procurait un sentiment de puissance, de nature à stimuler son désir sexuel. Le vieux Victor et son énorme bite tout comme les autres, pouvaient me baiser, mais il fallait l’accord d’Alfred !
    
    — Pourquoi pas ! répondis-je, il est vrai que cela mettra un peu d’animation... Es-tu partant Victor ?
    
    — Bien, dit Alfred. Trixie, es-tu sûre de vouloir jouer entièrement le jeu ? Accepter les situations, les plus délicates, les plus chaudes ?
    
    — Ne te l’ai-je pas prouvé maintes fois ! Tu sais que cela m’émoustille vraiment... Je ne soustrairai à aucune des situations, même des plus scabreuses...
    
    — Bien, alors peux-tu mettre ta robe bustier blanche, tu sais la longue en satin qui est ouverte sur le côté jusqu’en haut de ta cuisse. Tu mets ...
    ... un porte-jarretelles blanc et des bas de la même couleur. Bien sûr, le port du string est prohibé. Il est quatre heures... nous pourrions aller au cinéma. Les salles obscures peuvent permettre bien des choses. Je vais commander un taxi.
    
    Une demi-heure plus tard, le taxi était là, je m’installai à l’arrière, Victor à ma droite, Alfred sur ma gauche. La voiture n’avait pas franchi le portail du jardin qu’Alfred m’attira vers lui et m’embrassa.
    
    — Victor, vous pouvez vous aussi embrasser Trixie...
    
    Je me penchai vers le vieux majordome et lui tendis mes lèvres. La main d’Alfred écarta les pans de la robe, se faufila entre mes cuisses. Il dévoila ma cuisse et l’attache du porte-jarretelles. Le chauffeur, un jeune homme, intrigué par notre manège, avait positionné son rétroviseur, pour nous observer. Alfred s’en était rendu compte, en souriant, il écarta plus largement ma robe et découvrit ma chatte rasée. Victor tout en continuant à me fouiller la bouche de sa langue avait dénudé mon sein droit et le caressait, le malaxait, tirait sur mon téton pour le faire ériger.
    
    Alfred m’avait largement ouvert les jambes, deux de ses doigts écartaient mes grandes lèvres pour offrir l’intérieur rose de ma chatte au regard du chauffeur. Il avait dénudé sa queue et chercha ma main pour la poser dessus. Je sortis la bite monstrueuse de Victor et me penchai pour engloutir son gland dans ma bouche,
    
    Alfred saisit ma jambe gauche et la posa sur son épaule, il remonta ma robe plus haut que ...
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