1. Nymphomane, moi ? Tome III (7)


    Datte: 03/12/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Trixie, Source: Xstory

    ... poubelles, s’essayait à chanter des chansons paillardes. On croisa une patrouille de police, il se moqua d’eux. Tant et si bien que les représentants de l’ordre nous arrêtèrent tous le trois pour finir la nuit en cellule de dégrisement.
    
    Au commissariat, il y avait deux cachots puissamment éclairés, séparés par des barreaux. Dans chaque cellule, une espèce de lit trônait au centre, l’un deux était occupé par une sorte de clochard trapu, assez gros, moustachu, les cheveux longs, il avait l’air de dormir.
    
    Alfred discuta longuement à voix basse avec notre geôlier, lui montra les caméras.
    
    — Bon vous deux, les deux mecs entrez ici, vous mademoiselle dans celle-ci.
    
    Il me poussa presque dans celle où dormait le clochard, ferma la porte à clef, et quitta la pièce.
    
    — Pourquoi m’a-t-il séparée de vous ?
    
    — Tu ne t’en doutes pas un peu, me répondit Alfred... en souriant, et regardant la caméra !
    
    — Oh non !!
    
    — Eh si, rappelle-toi, tu as accepté toutes les situations !
    
    Je fis la moue, en regardant l’homme qui dormait, il n’était pas ragoûtant. Vieux, à moitié chauve, les cheveux gras, une moustache ornait sa lèvre. Je compris le scénario d’Alfred. Un frisson de désir malsain me parcourut la colonne vertébrale faisant pointer mes tétons à travers le mince tissu de ma robe. Je m’assis sur le lit, ce qui le réveilla.
    
    — Putain, c’est quoi ce bordel... Qui êtes-vous ?
    
    Puis réalisant qu’il se trouvait en présence d’une jeune fille super sexy, il s’assit tout ...
    ... contre moi.
    
    — Alors jeune demoiselle, on s’est fait mettre en prison, quel dommage ! C’est vos amis à côté ?
    
    Vous avez froid, on devine vos mamelons sous votre robe... Putain ils sont vraiment longs vos tétons !
    
    — Oui, vous pouvez vous en assurer dit Alfred.
    
    — Je n’ai pas besoin de votre permission !
    
    Il se rapprocha encore plus, je sentis son haleine fétide dans mon cou. Il descendit lentement le bord ma robe, jusqu’au ras de mes aréoles, puis il me prit la tête et m’embrassa. Puisque Alfred m’avait bradée cette fois sans mon avis, je ne résistai pas et lui rendis fougueusement son baiser. Sa main droite descendit le long de ma gorge, s’insinua dans mon décolleté et sortit mes deux seins. Il les saisit à deux mains et se mit à les malaxer, les presser, les frotter l’un contre l’autre, tirant, pinçant griffant mes petits cônes bruns, qui s’étirèrent de plus en plus montrant qu’ils appréciaient ce traitement. Il me fit lever et tira lentement ma robe vers le bas... dénudant d’abord mon porte-jarretelles, puis ma chatte glabre.
    
    — Oooooohhhhh putain Salope, tu ne portes pas de culotte, et tu as des bas et un porte-jarretelles... putain c’est noël avant l’heure... en plus ta chatte est rasée... tu es super... Putain tu me fais bander !
    
    Il quitta entièrement ma robe, sa main droite se plaqua sur mon pubis, son majeur et son index se faufilèrent dans mon conduit vaginal, il fit quelques allers et retours.
    
    — Mais tu mouilles... On dirait que je te fais de l’effet ! ...
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