1. Troublant voisinage (2)


    Datte: 29/11/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Obedientsub83, Source: Xstory

    ... dur. Si vraiment tu veux t’engager dans cette voie, il faut que tu comprennes qu’elle est ta place. Tu parles lorsqu’on te donne la parole, qu’on te pose une question. Est-ce bien clair ?
    
    — Je... heu... oui...
    
    — Oui qui ? aboya durement Sylvie. Je te croyais plus dégourdie que cela !
    
    — Oui Madame. Je suis désolé, répondit Sarah en baissant les yeux, penaude et... triste apparemment d’avoir déçu Sylvie. J’étais... abasourdi par ce qui se passait.
    
    — Bon, ce n’est pas grave, nous verrons tout cela plus tard. Dites-moi, avez-vous baisé hier soir en rentrant chez vous ?
    
    Sarah me regarda en coin, n’osant pas prendre la parole. Je le fis donc.
    
    — Oui, en effet. Nous avons fait l’amour après avoir discuté de ce qui s’était passé, nous étions tous les deux... Enfin, ces événements nous avaient bouleversés, mais aussi excités. Et nous avions besoin d’exprimer notre amour et...
    
    — Tu dis cela bien joliment, me coupa Sylvie, mais ce que je constate, c’est que ce qui s’est passé ne vous a pas suffi. Vous étiez en chaleur. Ta femme avait encore envie de queue, et toi, il fallait que tu te serves de ta petite bite, que tu marques ton territoire comme un chien.
    
    — Non, ce n’est pas...
    
    — Ta gueule !
    
    Sylvie cria presque, ses yeux noirs semblaient me transpercer et m’ordonnaient le silence. Je dois bien avouer que j’étais intimidé, et je perdis toute contenance.
    
    — Ne discutez jamais ce que je dis. Je vous comprends, je vous connais mieux que vous ne vous ...
    ... connaissez vous-même. C’est pour ça que Lance et moi serons de si bons guides pour deux petites salopes comme vous. Nous allons vous révéler à vous-mêmes. Et croyez-moi, vous n’avez aucune idée de qui vous êtes, et de ce que vous allez devenir.
    
    Un silence pesant suivit ses paroles.
    
    — J’imagine que c’est clair. Bien. Je me doute aussi parfaitement que vous avez passé la journée dans un certain état de fébrilité et d’excitation. N’est-ce pas ?
    
    — Oui, Madame. Sarah et moi avions répondu en chœur.
    
    — Oui, bien entendu. Dis-moi Stéphane, t’es-tu branlé ?
    
    — ... Je... Oui.
    
    — Oui Madame ! N’oublie pas le respect que tu me dois. Combien de fois as-tu fait cracher ta misérable queue ?
    
    — Une seule fois... Madame.
    
    — Vraiment ?
    
    — Oui Madame. Je ne voulais pas... enfin, cet état n’était pas pour me déplaire...
    
    — Bien sûr. Voilà qui ne me surprend pas venant d’une petite lope comme toi. Et toi Sarah ?
    
    — Hé bien... J’étais au bureau alors...
    
    — Je sais bien, ce n’est pas ma question !
    
    — Oui, je me suis caressée, Madame.
    
    — Et combien de fois ?
    
    — Une seule Madame... hum...
    
    — Oui ? Tu as quelque chose à dire mon Trésor ?
    
    — Hé bien... Je ne me suis caressé qu’une fois, aux toilettes, mais j’étais dans un tel état... cela n’a pas suffi à me calmer. Et...
    
    — Et quoi ? Allons, parle ! Ne fais pas ta mijaurée, je déteste ça !
    
    — Hé bien, je ne sais pas si mon excitation était visible, ou même si c’est moi qui l’ai provoqué... Mais, enfin, bref, je me suis ...
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