1. Troublant voisinage (2)


    Datte: 29/11/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Obedientsub83, Source: Xstory

    ... penses-tu ?
    
    — Je pense que tu es merveilleux et que je t’aime !
    
    Nous nous embrassâmes longuement, doucement, passionnément. Quelques heures avaient suffi à transformer notre couple, bien plus profondément que nous ne pouvions l’imaginer à cet instant. Nous étions tous deux engagés dans cette nouvelle aventure, et cela nous semblait délicieux.
    
    Sarah interrompit notre baiser.
    
    — Tu sais que tu seras toujours mon homme. Et que je suis toute à toi. Même quand...
    
    — Oui, je le sais. Notre amour est indéfectible.
    
    Je vis alors le désir dans ses yeux, la tension sexuelle était revenue, forte, impérieuse. Et je réalisai que moi-même, je bandais à en faire exploser ma braguette.
    
    — J’ai envie de toi Sarah. Je te veux.
    
    — Moi aussi. Prends-moi, fais-moi tienne.
    
    Nous nous jetâmes littéralement l’un sur l’autre. Nous retrouvant nus en un clin d’œil, nos langues mêlées, nos mains parcourant nos corps, à fleur de peau. Nos sexes se cherchant, appelant à une union intense, profonde. Elle se mit à genoux sur le canapé, se tourna vers moi, l’œil lubrique :
    
    — Baise-moi ! Fais-moi tienne !
    
    Je positionnai ma queue à l’entrée de sa chatte trempée, elle recula vers moi pour s’empaler, mais je la fessai et la retins par les hanches. Je fis jouer un moment mon gland turgescent à l’entrée de sa grotte, titillant son clitoris, glissant entre ses lèvres poisseuses. Elle gémissait.
    
    — Arrête ce petit jeu ! Je te veux ! Prends-moi. Je veux te sentir au fond de moi !!!
    
    Je ...
    ... la fessai à nouveau. Je la fis languir encore un peu puis... je la pris d’un coup, entrant sans difficulté dans son sexe trempé et ouvert.
    
    Nous baisâmes longuement, profondément, intensément. Mes couilles battaient contre l’entrée de sa chatte alors que je cherchais à la prendre toujours plus loin. Je tirais ses cheveux pour la faire se cambrer. Empoignai sa poitrine à pleine main pour l’attirer à moi et l’embrasser tout en caressant ses seins durs et gonflés. Elle poussait son bassin contre moi, venait à la rencontre de ma queue.
    
    — Vas-y, prends-moi. Je suis à toi. Baise cette chatte que d’autres ont prise. Je ne suis qu’une pute.
    
    — Oui, tu es ma pute ! Ma petite chienne ! Une bonne salope. J’aime que tu sois bien salope. Tu l’aimes ma queue ?! Elle est bonne ?!
    
    — Ouiiii ! Ouiiiiii, putain elle est bonne !!!!
    
    Nous jouîmes intensément et nous tombâmes dans les bras l’un de l’autre, nos corps luisants de sueur, entremêlés, épuisés, soûls de plaisir, nos bouches soudées l’une à l’autre.
    
    Le lendemain matin nous trouva particulièrement souriants malgré une nuit courte. Nous échangions des sourires et des regards complices sans avoir besoin de nous parler. Sarah se fit particulièrement belle pour aller au bureau, dans une petite robe à fleurs échancrée. Elle se sentait sexy, désirable, et cela lui allait à merveille. Elle rayonnait. De mon côté, je me préparais à une journée de télétravail, et je venais de me mettre devant mon ordi, alors que Sarah s’apprêtait à ...
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