1. Troublant voisinage (2)


    Datte: 29/11/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Obedientsub83, Source: Xstory

    ... partir, quand mon portable sonna. Je venais de recevoir un SMS.
    
    — Vous avez été parfaits, délicieux hier soir. Nous n’avons pas été déçus. Il faut que nous en parlions. Venez chez nous ce soir, 19h30. Sylvie.
    
    — Chérie ? Je viens de recevoir un message...
    
    — Moi aussi...
    
    — Sylvie ?
    
    — Oui.
    
    — Comment a-t-elle eu nos numéros ?
    
    — Aucune idée. Peu importe, c’est gentil de sa part de nous écrire et de nous proposer de parler de tout ça ce soir.
    
    — Proposer... ça ressemble plutôt à une convocation. Mais oui. C’est très bien.
    
    — Tu... tu es toujours...
    
    — Oui, bien sûr. Je n’ai pas changé d’avis. En fait... j’ai hâte d’être à ce soir !
    
    — Tant mieux ! Je crois que... enfin, je... suis tout émoustillée !
    
    — Pas de bêtise au bureau, dis-je dans un clin d’œil.
    
    — Promis, je serai sage. Au moins jusqu’à ce soir... Et Sarah me rendit mon clin d’œil.
    
    Il faut que je file, je suis encore à la bourre.
    
    Elle m’embrassa longuement, tendrement, et fila.
    
    De mon côté, je me mis difficilement au travail. La journée fut longue, laborieuse. J’étais tendu et... excité. Des images de la soirée de la veille me revenaient, et je ne pus m’empêcher de sortir ma queue et de me soulager. J’espérais que cela m’aiderait ensuite à me concentrer, mais ce ne fut pas vraiment concluant. Je m’interdis de me branler une deuxième fois. J’étais dans un tel état que j’aurais pu me faire jouir trois, quatre fois, et être, je crois, encore excité. Mais je voulais garder un peu cette ...
    ... délicieuse tension.
    
    Nous échangeâmes quelques messages au cours de la journée avec Sarah. Elle était clairement dans le même état que moi. Incapable de travailler, de se concentrer. Elle m’avoua être allée aux toilettes pour se « soulager », mais cela n’avait apparemment fait qu’attiser le feu en elle. Voilà qui promettait.
    
    À défaut de réussir à travailler, je me rendis à la salle de sport, pour évacuer un peu, reprendre mes esprits. Et me montrer à mon avantage le soir si j’étais amené à me retrouver nu à nouveau...
    
    Je rentrai à 18h45, et Sarah peu après moi. Elle se rafraîchit, passa une autre robe, unie, bleu marine, échancrée aussi, plus encore peut-être, et plus courte surtout.
    
    À 19h28, nous sonnions chez nos voisins. Fébriles, anxieux, la boule au ventre, mais délicieusement excités. Nous nous tenions par la main.
    
    La porte s’ouvrit sur Sylvie, magnifique dans un tailleur strict, les cheveux relevés en un chignon serré.
    
    — Ce sont nos chers voisins ! Juste à l’heure. Vous vous tenez par la main, comme c’est mignon. Entrez, entrez.
    
    Nous lui emboîtâmes le pas à l’intérieur, et je fermai la porte alors qu’elle entrait au salon sans s’en soucier.
    
    — Lance a été retenu au travail, mais il ne saurait tarder. Sa présence n’est de toute façon pas essentielle. Stéphane, j’ai ouvert une bouteille de vin, à la cuisine, sers-nous un verre à chacun et installons-nous au salon.
    
    Je me dirigeai à la cuisine, et revins avec trois verres de vin rouge. Sarah était ...
«1234...11»