1. Cent pour cent vécu ! (1)


    Datte: 23/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... porno plus que de l’érotisme ? Pour ma part, je n’apprécie pas du tout.
    
    — Tu parles comme ça parce que chez toi, dans cette maison, tu as tout ce qu’il te faut pour être heureux. Tous les hommes, toutes les femmes ne sont pas comme notre couple... et puis c’est bon aussi, non, d’exorciser ses vieux démons ?
    
    — Si rêver de coucher avec sa mère, son père, ses oncles, tantes ou cousins, cousines... enfin, si l’inceste ou le viol – parce que, finalement, forcer les gens en est un – sont des fantasmes pour plein de gens, je ne dois pas être normal !
    
    — Ça reste sur le papier... sans déborder dans l’existence véritable des personnes qui écrivent ces situations immondes. Je veux au moins croire cela.
    
    — Encore une chance ! Dans quel monde vivons-nous...
    
    — oooOOooo —
    
    Après cette nuit de fête des sens, en début d’après-midi, alors que mon mari est à son bureau, je reprends ma feuille, mon encrier, et je tente de rassembler les bribes des souvenirs de ce que nous avons fait. Comment retranscrire en phrases « parlantes » ces moments où mon corps est déconnecté de mon cerveau ? Car c’est bien comme ça que je vois les choses : je ne suis plus tout à fait moi-même quand Michel me caresse, me prend, me fait l’amour. La sodomie de cette soirée fait bien sûr partie de nos jeux de couple, bien que nous ne soyons pas vraiment des adeptes de cette forme de sexualité.
    
    Rien n’est interdit entre nous – je crois l’avoir bien saisi – et ce n’est donc pas à sens unique. Il y a ...
    ... cependant un fossé assez large entre faire l’amour et coucher sur le papier l’acte dans sa crudité absolue. J’aime faire l’amour avec lui ; j’arrive parfois aussi à faire ressurgir des images assez nettes de ces gestes très tendres entre nous, mais pour les accentuer en mots langoureux sur une page de cahier « Clairefontaine », ça devient un exercice tout différent, pour d’obscures raisons qui ne semblent pas si évidentes à dénoncer.
    
    Par exemple, la pudeur. Celle de ne dévoiler qu’une partie commune de nos joutes sexuelles, ne pas être vulgaire ; rester neutre aussi devant une situation qui, à raconter en paroles à un inconnu, deviendrait vite embarrassante pour la femme prude que je suis. Là, je dois forcer le trait, enjoliver quelques phases plutôt bestiales d’intimité dont je n’ai pas la moindre vision. En un mot comme en cent, comment faire du vrai avec un esprit qui manque d’imagination ?
    
    Mais revenons à nos moutons. Monsieur Marc, pour plaire à bien des jeunes et vieux cochons de nos jours, doit... devrait (ça reste flou) coucher avec sa belle. Ça, c’est simple, pas très compliqué à mettre en scène. Dans la foulée, alors, le faire revenir un jour à la maison pour qu’il croise sa belle-maman ? Peut-être plus facile de le faire débouler chez elle en l’absence du beau-père... Oui, pourquoi pas ? Je me creuse les méninges pour trouver le biais permettant que ces deux-là arrivent à se retrouver dans une situation telle qu’Aglaé (prénom d’emprunt) et Marc puissent se ...
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