Cent pour cent vécu ! (1)
Datte: 23/11/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... découvrir. Au sens figuré du terme, bien entendu, puisqu’ils se connaissent depuis pas mal de temps sans doute.
La belle-doche... quelle femme serait-ce ? Un peu délaissée par son mari ? Un peu aigrie par une insuffisance de sexe ? Un peu... un peu... Pour en arriver à se laisser sauter par le mari de sa fille, elle doit être en gros manque, non ? Allons-y pour une abstinence qui lui monte à la tête. Je dois donc tout prévoir. Et si... oui, c’est bon, ça !
Il arrive à brûle-pourpoint, comme un cheveu sur la soupe. Marc sonne ; pas de réponse. Merde ! Alors machinalement le garçon pose sa main sur la poignée de la porte. Curieusement, celle-ci n’est pas fermée. Alors il fait ce que tout gendre mal élevé ferait : il entre et furète un peu dans la maison. Un bruit d’eau lui parvient de la salle de bain ; bizarre, ça, en milieu de journée... Poussé par une curiosité malsaine, le voyou (vocable gentil pour le désigner) avance vers la douche. Aglaé n’a pas songé un seul instant que quelqu’un pourrait venir chez elle à l’improviste, sans bruit. Alors elle se frotte allégrement la poitrine, et de fil en aiguille... le manque ressurgit.
Quoi de mieux que deux menottes de femme pour venir faire exulter ce sexe qui n’est plus assez visité à son goût ? Les caresses sont de plus en plus chaudes, et les deux longues jambes fléchies, la dame sous un jet tiède se donne un plaisir qu’elle juge normal et mérité. Après tout, il n’y a pas de mal à se faire du bien. Sans se douter que ...
... dans l’entrebâillement de l’huis censé lui assurer une relative protection, son gendre la mate. Et bien entendu, telle fille, telle mère !
Le spectacle offert par cette belle plante mûre – tout juste vingt ans de plus que sa nénette – le spectacle vaut son pesant de cacahouètes. En fait d’arachides, celles du mignon le démangent de plus en plus, et la raideur qui déforme son futal n’a rien d’impossible. De plus, il est monté comme un âne (c’est couru d’avance). Pour les besoins de mon récit, de toute façon, il doit avoir un manche de pioche en guise de queue. Maintenant il faut que je les mette en contact. Et là... se dessinent plusieurs hypothèses.
D’abord, elle le voit et se met à hurler, ameutant les voisins, et le Marco se barre la queue entre les jambes. Bon, on va de suite écarter ce scénario. Ensuite, elle ne le voit pas, et l’idiot se faufile sous la flotte qui coule... zut ! Il n’est pas à poil, lui, et il va devoir rentrer chez sa dulcinée trempé comme une soupe. Ça ne colle pas non plus. À moins que... le pervers attende encore quelques minutes que la belle finisse sa branlette plus vraiment solitaire. Il n’a pas une patience d’ange, non plus... Bien, je vais couper court : il se sent obligé de se dépouiller de toutes ses hardes avant d’intervenir.
Corps musclé, poitrine juste velue ce qu’il faut, gueule d’ange (sinon la fille ne l’aurait pas marié) et la zigounette à l’horizontale, il ne craint plus de prendre une tarte que beaucoup jugeraient méritée. Et ...