1. Cent pour cent vécu ! (1)


    Datte: 23/11/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Anthynéa, Source: Xstory

    ... rectum qui lui enserre le vit. L’endroit est plus étroit que ma chatte, évidemment ; il doit ressentir plus de sensations aussi. Au bout de je ne sais combien de temps, c’est moi qui le supplie de venir s’y répandre.
    
    — Je t’en supplie, Michel... donne... donne-moi tout !
    
    — ...
    
    — Vide-toi, oui, en moi, je veux que tu viennes là où tu es... vas-y ! Fais-moi plaisir, s’il te plaît... Oh oui ! C’est trop bon...
    
    — Haha, Madame réclame plus fort pour une fois ?
    
    — Oh, c’est trop bon ! Trop long aussi. Ça me déchire, me chauffe trop... Baise-moi, oui ! Prends, prends ! Donne-moi ton foutre.
    
    — Mais ma bourgeoise s’encanaille, on dirait... Laisse-moi encore le plaisir de te prendre le « petit » : ce n’est pas si souvent, et ce soir, sans que je sache pou... pourquoi, c’est... savoureux.
    
    — Donne-moi, vide-toi là, mainten... nant, s’il... te... plaît !
    
    Mes vœux sont exaucés. La force de cette seconde giclée, je peux l’apprécier plus intérieurement. Ensuite Michel reste un long moment le ventre collé à mes fesses. Plus aucun mouvement, sauf ceux que sa queue encerclée par mon anus qui se contracte lui distille. Lentement, la bête se rétracte, et c’est d’une manière mollassonne qu’elle quitte son logement provisoire. Immédiatement après son lâche abandon, je ressens comme une immense tristesse. Celle de ce vide que Dame Bite laisse en moi.
    
    Je n’apprécie jamais ce moment, qui reste toujours un passage difficile pour mon esprit enfiévré. Une déchirure que de ne ...
    ... plus me sentir remplie par cette chose qui, à chacun de ses mouvements en moi, me donne un plaisir trouble. Mais la Nature reprend fatalement ses droits, et le sang qui gorge la bête le temps du rut se retire tout aussi rapidement dès lors que l’éjaculation a eu lieu. Et je reste pantoise, assouvie, mais presque déçue par la trop rapide sortie du sexe mâle de cet endroit où il était si bien logé.
    
    Après l’effort, une longue plage de calme. Trop obnubilée par ce qui vient se passer, je n’ai guère de raisons de dormir. Nos deux mains réunies, couchés côte à côte sur le dos, le nez en l’air, nous apprécions distinctement cette partition amoureuse que nous venons, chacun dans notre registre, de jouer. Fatalement, ce silence seulement ponctué de nos respirations respectives doit à un moment ou l’autre être rompu. Et dans le noir, la voix aimée de mon mari fait basculer notre coupure vers un dialogue feutré :
    
    — Je me demande encore pourquoi tu écris. Bien peu de gens t’adressent des retours sur tes textes. Que crois-tu vraiment qu’ils en pensent ?
    
    — Ce n’est pas cela l’important, Michel. J’aime écrire ! Alors savoir que quelques personnes apprécient mes récits, qu’ils ne se contentent pas de « La suite... vite ! » ou « Tu me fais bander... », voire « Ça m’excite ! », je me dis que dans le flot de lecteurs, quelque part il doit en exister un ou plusieurs qui n’ont pas une si mauvaise opinion de ce que je raconte.
    
    — Tu crois qu’en fin de compte tu es récompensée de tes ...
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