Cent pour cent vécu ! (1)
Datte: 23/11/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Anthynéa, Source: Xstory
... suis partisan des récits véridiques s’ils m’offrent un pareil plaisir à chaque fois.
— Tu n’oublierais pas un peu vite quelque chose, toi ?
— ... ? Peut-être que tu crois que je ne sais pas que tu n’as pas joui ? Allons... ne me fais pas l’injure de penser que tu vas t’en tirer à si bon compte... mais je ne bande pas en permanence, je l’avoue. Ce n’est pas comme dans les films pornos, où les mecs sont des bêtes de cul...
— Des morpions, donc ?
Il rit de ma bêtise et je fais de même. Cet homme, c’est le sel de ma vie. Finalement, il s’est simplement écarté de moi, mais c’est pour mieux s’occuper de mon corps. Mes seins l’inspirent un moment, mais il ne saurait s’en contenter. Le grand jeu : il me sort maintenant la panoplie de l’amant aimant. Bien sûr, il ne rebande pas de suite ! Après vingt-cinq ans de vie commune, ça peut aussi se comprendre, à défaut de s’expliquer. Il me tripote partout, et j’adore cela. Enfin sa langue calme la mienne avec quelques baisers torrides ; elle vient suppléer ses digitales effusions. Je me sens si bien...
J’en oublie mon récit, j’en perds le fil de mes idées. Et si notre prière, en préambule à tant d’autres, commence par celle du missionnaire, c’est mal le connaître que de croire que cette fois il va s’oublier rapidement. Je sais que je vais avoir droit au grand jeu ; et s’il me laisse le choix, je songe d’un coup que la levrette lui permettrait de me rendre la monnaie de ma pièce. Du reste, ses ardeurs et ses léchouilles me ...
... laissent penser qu’il prend la direction de ce chemin détourné – juste retour des choses – à la seule différence que son calibre, sans être monstrueux, n’a rien du diamètre de mon majeur.
Notre chambre s’emplit des nouveaux soupirs, de gémissements plus féminins que masculins désormais, quoique... Et puis les pérégrinations de sa langue suivent des détours identiques à ceux pris par la mienne quelques instants auparavant, et c’est à genoux, la tête dans l’oreiller, que ces assauts me poussent à des hurlements quasi sauvages. Mais pour l’heure il n’a fait qu’emprunter la voie « normale », dois-je préciser. Si sa bite a mis un moment pour reprendre une forme lui permettant de me faire du bien, il ne veut pas démériter et fait de fréquentes pauses. Il se ménage ? Peut-être, mais puisque c’est dans le seul but de me faire du bien, je dois l’en remercier.
Je dois dire aussi qu’il y parvient au-delà de mes espérances. Mon ventre est secoué de spasmes de plus en plus rapprochés, et c’est bel et bien à l’instant précis où je pars dans un orgasme dément que d’un coup sec il enfonce son jonc dans mon cul. Ça n’arrête en rien la montée de cette jouissance qui déferle de partout. Pas la moindre petite douleur alors que maintenant il s’active au plus profond de mon fondement. Mes hurlements redoublés sont à la hauteur de ce qu’il me donne.
Ça dure longtemps. Il me tient par les hanches et me lime avec une lenteur exaspérante pour la seconde suivante s’enfoncer brutalement dans ce ...