L'Histoire mène à tout... (17) - Histoires de Sexe

L'Histoire mène à tout... (17)

... sont endormies, probablement vaincues par l’excès d’orgasmes, à l’ombre du grand parasol, ne risquant pas un méchant coup de soleil. Je suis donc tout à fait à l’aise pour admirer ma mère dans ses œuvres.

À vrai dire, je ne pensais pas qu’elle accepterait si aisément.

Elle m’étonne un peu plus à chaque fois. Et je pense que je n’en suis qu’au début de mes découvertes la concernant.

Je devine vraiment et sincèrement que c’est une vraie salope perverse. Mon père n’a pas dû beaucoup s’emmerder avec elle.

— Prêt mon chéri ?

— Quand tu veux, maman chérie. Fais-moi bander fort, puisque c’est ta promesse.

— Mmmhhh... redis-moi cela ?

— Fais-moi bander fort !

— Ooohhh... voyons, Alexis. Parle-t-on ainsi à sa maman ? Me dit-elle en passant une jambe de chaque côté du lit en empoignant un de ses seins dans chaque main.

— Lorsque sa maman est une aussi grosse salope que toi, bien sûr. Un bon fils ne peut décevoir sa propre mère en reniant ce qu’elle est vraiment.

— MMmhhhh... Tu trouves toujours les bons mots, mon fils ! Alors, regarde maman se toucher la chatte, se caresser les seins et se masturber rien que pour tes yeux de voyeur.

— Je suis aux premières loges pour t’admirer, dis-je en m’accoudant au rebord de la piscine, ma queue tirant déjà sur le tissu de mon short de bain. Heureusement que l’eau est encore un peu fraîche.

Ma mère commence alors son petit manège.

Elle me fixe dans les yeux lorsque son index tendu passe sous le fin tissu de ...

... son string. Je peux observer le léger mouvement qu’il opère lorsqu’elle se met à caresser son clitoris dans un petit oscillement de gauche à droite. De son autre main, elle titille lentement entre son pouce et son index son téton droit déjà érigé par l’excitation. Sa respiration se fait plus calme, mais aussi plus profonde. Je remarque que son corps se tend légèrement sous l’impulsion que son sexe transmet à l’entièreté de son corps. Ses doigts étirent un peu plus ses seins alors que, sous son string, je remarque à présent qu’elle se pénètre la chatte gorgée de cyprine à l’aide de deux doigts. Sa langue passe sur ses lèvres et ses yeux, fermés, ne témoignent plus de son émoi.

Soudain, ses reins se cambrent sous le double effet de ses mains puis, elle se couche sur le transat, les pieds toujours en appui sur le sol chaud.

Sa main entoure ses seins l’un après l’autre et ses soupirs se font plus lourds. Sa main triture maintenant sa chatte, elle se pénètre de trois doigts à un rythme plus soutenu. Le bruit de sa jouissance est à présent perceptible pour mes oreilles. Ma mère mouille comme une fontaine. Ce petit exercice d’exhibition pour son fils semble la stimuler terriblement. Elle aime vraiment cela, cette salope. Ma queue me fait mal et je décide de retirer totalement mon short, que je pose sur le rebord de la piscine.

Ma mère, les yeux toujours fermés, n’a encore rien remarqué.

Sa main lâche alors sa poitrine dont les tétons sont érigés comme deux petites bites, ...