1. Le lac


    Datte: 22/11/2021, Catégories: fh, fplusag, bateau, Oral pénétratio, poésie, lettre, mélo, Auteur: Pericles, Source: Revebebe

    ... contre mon visage, enfouissant ma bouche et mon nez entre vos fesses. Tirant alors un peu la langue, j’arrivai à titiller votre adorable bouton d’amour que je devinai, sous son capuchon, déjà aussi dur et impatient que ma verge. Je ne me privai pas de ce bonheur, vous arrachant ainsi un chapelet de gémissements de plaisir.
    
    Vous ouvrez encore plus les cuisses, pour mieux me laisser m’emparer de votre féminité déjà si trempée de votre liqueur de femme. Excité de vous sentir si réceptive, je me laisse aller à aspirer votre bouton sans ménagement. Vous en manifestez une certaine surprise, reculant légèrement sous l’assaut, mais vous vous ressaisissez vite, et vous offrez à nouveau complètement, tout en balançant vos hanches au rythme de la montée de votre plaisir.
    
    Vous vous cambrez encore un peu plus pour faciliter ma fouille intime, vous préparant à jouir sans retenue. Vous êtes à deux doigts d’exploser de plaisir.
    
    — Oh oui ! Encore ! Vous me rendez folle, Alphonse. C’est si bon de vous sentir juste là, fouillez-moi encore avec votre langue…
    — Même si ce que nous faisons est un péché ?
    — Oui, n’arrêtez surtout pas ! Je suis toute à vous, aimez-moi !
    
    Projetant vos mains vers l’arrière, vous vous emparez alors de mon sexe durci pour m’inciter à pénétrer dans le sein des seins sans plus attendre.
    
    J’avoue qu’alors l’esprit malin se saisit de mon âme et je vous embroche d’emblée à grands coups de reins, comme un damné. Le sourire que je vois se dessiner sur votre ...
    ... visage tourné vers moi me laisse penser que vous appréciez cette manière impétueuse d’exprimer l’envie que j’ai de vous.
    
    J’essaie de maîtriser quelque peu ma fougue, mais les contractions de votre vulve contre mon vit turgescent sont bien trop voluptueuses pour que je j’arrive à résister longtemps. Vous respirez de plus en plus fort, accompagnant mes gestes à chaque fois que je m’enfonce plus loin en vous, fermant les yeux pour mieux vous concentrer sur le plaisir que nous nous offrons mutuellement.
    
    Vos fesses collées à mon ventre, je ressens les moindres ondes de votre plaisir grandissant. Enfin, alors que vous subissez encore l’une de mes puissantes poussées, les premières crispations de jouissance apparaissent sur votre visage.
    
    Il n’en faut pas plus pour déclencher en moi un feu d’artifice, concomitamment à celui qui vous emporte et nous jouissons de concert. Je jette un dernier regard sur vous puis, fermant les yeux, je m’abandonne au plus puissant orgasme qu’il m’ait été donné de vivre.
    
    Je reste immobile de longues minutes, comme sonné par ce plaisir qui m’a dévoré, les yeux fermés, le corps épuisé par de si véhéments transports. Quand j’ouvre à nouveau les yeux, je constate que vous-même, Julie, êtes dans un même état et que nous sommes plus unis que jamais dans un immense sentiment de plénitude.
    
    ***
    
    Le soir tombait alors que nous rentrions sur Aix. Nous voguions en silence ; on entendait au loin, sur l’onde et sous les cieux, que le bruit des rameurs qui ...